1. La Pimbêche -- 01


    Datte: 17/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... et sans attendre de réponse, proposa : « Aline, je te laisse l'honneur. »
    
    Cette fois, c'est elle qui tira le dé, cela sembla lui porter chance, car il tomba sur le deux. C'était le chiffre de Béatrice. Aline demanda :
    
    « Action ou vérité ?
    
    — Action, j'ai pas peur.
    
    — Euh... j'ai pas trop d'idée.
    
    — Moi j'en ai une, proposa Coralie.
    
    — Balance.
    
    — Je propose que Béa embrasse... » son doigt voleta en l'air avant de le faire retomber sur... « Aline !
    
    — Je n'ai pas le choix on dirait... » annonça Béatrice. « Mais je dois dire que quand je parlais de réconciliation, je ne pensais pas que ça irait aussi loin... »
    
    Les filles se mirent à rire de la blague, tandis qu'Aline devenait cramoisie. Embrasser une fille ? C'était impossible ! Elles ne pouvaient pas être sérieuses. Pourtant elle vit Béatrice s'approcher lentement d'elle... C'était vraiment injuste ! Pour une fois que le dé désignait quelqu'un d'autre, elle devait quand même souffrir d'un gage, quand sa camarade fut devant elle, Aline lança :
    
    « On ne met pas la langue! »
    
    Mais Béatrice l'ignora superbement ; elle profita de ce qu'Aline ait la bouche ouverte pour coller sa bouche dessus et faire pénétrer sa langue. Ses mains se collèrent à son dos puis descendirent rapidement jusque sur ses fesses. Apparemment, réalisa Aline avec dégoût, Béatrice comptait honorer son gage de manière approfondie. Aline n'était pas du tout lesbienne, rien que d'avoir une autre femme trop proche d'elle la mettait ...
    ... parfois mal à l'aise, alors avoir la langue de Béatrice dans sa bouche lui paraissait ignoble. Et sa camarade profitait pleinement de son gage, cherchant le contact, mélangeant sa salive à la sienne... C'était une épreuve à laquelle Aline n'aurait jamais pensé devoir se soumettre. Heureusement qu'elle avait fumé un joint pour se détendre, sinon elle aurait vomi de dégoût.
    
    Le temps semblait s'allonger indéfiniment pour la pauvre lycéenne. En réalité le galochage ne dura qu'une minute, mais elle dut se forcer pour ne pas prendre Béatrice par les épaules et la jeter à terre. quand son embrasseuse quitta sa bouche, Béatrice eut une moue dubitative et précisa :
    
    « Je sais si c'est comme ça que tu embrasses Maxime, mais c'est mou. J'ose pas croire que c'est parce que je te déplais quand même... ?
    
    — Euh...
    
    — Allez, on tire au dé, pas de repos pour les braves, intervint Coralie.
    
    — Six !
    
    — Bon... ben vérité, décida la malheureuse victime.
    
    — Alors Aline, » commença à demander une des filles. « Tu as dit que t'étais encore pucelle... c'est peut-être qu'en réalité, tu aimes les femmes ?
    
    — Quoi ? non !
    
    — Tu dis ça, mais t'as jamais eu de bite en toi... comment tu peux savoir si tu ne préfères pas te frotter à un minou ?
    
    — C'est dégueulasse ! Je veux dire... J'ai rien contre les lesbiennes... mais c'est répugnant, une autre femme avec moi... C'est pas possible, qu'elle me touche... ça me répugne rien que d'y penser. »
    
    D'ailleurs toutes purent la voir frémir et ...
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