La Pimbêche -- 01
Datte: 17/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... j'ai envie de rejoindre l'équipe. Ou du moins qu'ils me donnent une chance de faire mes preuves.
— Ok, mais ne t'attends pas à ce que je devienne pom-pom girl parce que tu deviens footballeur.
— T'inquiètes... sauf que... c'est un peu ça que j'aimerais que tu fasses.
— Pardon ?
— Tu vois entre footeux... on est assez viril. Savoir jouer au foot, faire des tacles et des coups de tête c'est la base. Mais faut aussi savoir s'intégrer au groupe.
— Et alors ? Tu sais bien parler, tu n'auras pas de mal à les convaincre de t'accepter.
— Ouais, mais je t'explique un truc, ne t'énerve pas et ne fais pas du #MeToo tout de suite.
— Je me prépare au pire...
— Ok, pour rejoindre l'équipe faut être un tombeur. Baiser des nanas canon. »
Aline leva les yeux au ciel.
« Et moi j'ai de la chance, parce que justement je sors avec une nana canon. »
Aline ne répondit rien ne sachant pas immédiatement si elle devait se sentir offusquée ou flattée par ces paroles mielleuses.
« Et donc, » poursuivit Maxime, « c'est pour ça que j'ai besoin de toi, pour qu'ils puissent te voir, et trouver que je suis un Don Juan.
— Et tu crois que je suis aussi canon que ça ?
— Bien sûr! T'as une chevelure blonde longue et soyeuse, des nichons à se damner, des fesses délicieuses et des jambes galbées. Si on vendait chaque morceau aux enchères, ça reboucherait le trou de la sécu.
— T'as des compliments bizarres, tu sais... Enfin si ça te fait vraiment plaisir, je viendrais à ...
... la fête. C'est quand ?
— Samedi à vingt heures.
— Samedi, comme dans demain ?
— Ouais, t'avais des trucs de prévus ?
— Rien d'important. Si c'est ce que tu souhaites, je viendrais. »
Aline passa une bonne partie de la journée de samedi à se préparer pour la fête, elle voulait que les "recruteurs" de Maxime tombent immédiatement sous son charme. Qu'en la voyant, son mec rejoigne directement leur club. Elle avait mis un top avec un léger décolleté, une jupe rouge bordeaux qui lui tombait un peu au-dessus des genoux. Ce n'était pas effronté, ni coquin, mais tout de même appétissant. Elle savait par expérience que ça captait les regards des garçons et que lorsqu'elle se déplaçait ils la mataient en espérant voir un peu de ses belles cuisses. Elle avait des boucles d'oreille en or aux oreilles et s'était maquillée avec soin : un rouge à lèvres un peu épais, de l'eye-liner pour accentuer ses cils et un peu de fard à paupières pour lui donner des yeux de biche.
Quand Maxime vint la chercher et qu'il la vit descendre les escaliers, il laissa échapper un sifflement. Ce dont il fut un peu honteux, car Caroline, la mère de Aline, était présente dans
la pièce.
« T'es splendide. »
Caroline n'aimait pas trop Maxime, elle trouvait que la rencontre avec sa fille et leur liaison, toute platonique qu'elle soit, s'était enchainée trop vite. Et il y avait autre chose qui la chiffonnait : il était trop gentil et décontracté.
Certes, dans l'absolu un petit ami cherche ...