1. Changements de vie pour Jessica 18


    Datte: 14/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... que je peux faire c'est d'attendre, complètement impuissante. Les minutes s'écoulent. Le temps me parait très long.
    
    La sueur s'accumule sur mon front alors que je me balance sur la pointe des pieds. Je sens de la fatigue dans mes jambes. C'est inévitable, après environ cinq minutes, elles commencent à trembler dangereusement.
    
    Je n'en peux plus ! Mes mollets sont trop fatigués. Aussi lentement que possible, je me baisse sur la tranche du tableau. Ma chatte sensible se pose sur le bord métallique dur et froid.
    
    - Aie ! Grogné-je quand j'ai l'impression d'être fendue en deux.
    
    - Ne te plains pas et sois contente qu'il s'agisse que d'un bord plat et non pointé comme le véritable appareil. C'est facile en comparaison ! Dit Justin pour me faire taire.
    
    Honnêtement cette comparaison ne me remonte pas le moral. La façon dont le bord métallique presse contre ma chatte est assez inconfortable. Je n'ai pas envie de connaître le vrai appareil de torture.
    
    Luttant pour endurer ce bord dur qui entaille ma chatte, je réussis à le tolérer pendant près d'une minute avant de devoir me relever. Avec mes muscles tremblants d'une manière exaspérante, le temps pendant lequel je peux rester sur la pointe des pieds est considérablement plus court qu'auparavant. Mes mollets cèdent d'eux-mêmes. Avec toute la force qu'il me reste, je me baisse doucement en essayant de disposer mon poids autrement.
    
    - Arggghhh ! Gémis-je quand le bord du tableau coupe mes fesses en deux et appuie sur ...
    ... mon cul.
    
    Ce n'est pas mieux ! Il me faut beaucoup plus de temps cette fois pour rassembler assez de force pour me relever. Pourtant je réussis. La sueur coule sur mon visage.
    
    Le temps où j'arrive à rester sur mes orteils est de plus en plus court. La fatigue s'installe et je suis de plus en plus souvent posée sur le bord métallique. Bientôt je ne peux pas faire autre chose que chevaucher ce maudit tableau. Ma chatte et mon cul me font mal alors que je me tortille encore et encore sur l'appareil. Mes mouvements deviennent de plus en plus effrénés jusqu'à ce que je bouge de haut en bas sur le tableau comme si je chevauchais un âne. Même la bague scintillante de mon nombril rebondit en rythme contre mon corset.
    
    En haut ! En bas ! En haut ! en bas !
    
    - Ohhhh... Aiiieee... Ohhhh... Aieeee !
    
    Je gémis et grimace en rythme alors que mes gros seins rebondissent à l'unisson avec la bague de mon nombril. Même si je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements, ils deviennent de plus en plus forts. Je ne peux plus me contrôler.
    
    La peut m'envahit. Le bruit est si fort que quelqu'un dans le couloir peut l'entendre. A chaque seconde je m'attends à ce que la porte s'ouvre et qu'ORTEGA entre dans la pièce. Je ne pourrai pas me cacher.
    
    - Alors poupée ? As-tu oublié où tu es ? Tu n'es pas censée faire autant de bruit, stupide animal de bureau. Me réprimande Justin.
    
    Il avance vers moi, ôte sa cravate de son cou et la fourre directement dans ma bouche. Encore une chose ...
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