1. Le surlendemain


    Datte: 14/01/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    ... autour de moi je ne porte que des quarts de bonnet, … » - « Je suppose que tu as un joli corsage à grand décolleté, … » - « Oui, … bien sûr, … comme tu les aimes, … » - « Bien, … tu es seule, … ouvres un peu plus ton corsage, … et glisse une main pour caresser ces belles choses rondes, … l’aréole est douce, … le téton attend pour se dresser, … » - « Tu es complètement fou, … » - « Tu as quoi comme jupe, … » - « Fiches moi la paix, … » - « Depuis que tu te caresses tes tétons deviennent durs, … très durs, … maintenant tu veux aller plus loin, tu en as très envie, … » - « Arrêtes, … tu m’excites inutilement, … laisses moi me préparer pour toi, … tu sais que j’aime t’obéir, … que je sais ce que tu aimes, … que je suis docile, …peut-être je peux te faire une surprise, … » - « Tu veux me faire une surprise, … Wouah, … j’attends avec impatience, … ça me fait rêver, … et je sens une bosse naitre, … » - « Je me tiens comme une salope, … mais, …j’espère qu’elle sera dure, … même très dure, … dis moi que tu as envie de moi, … » - « Oui, … si tu me dis que t’as la chatte nue, … et que tu mouilles, … » - « T’es une sombre brute, … je ne me reconnais plus, … oui aux deux questions, … je t’attends, … oh, si tu savais, … comme je t’attends, … » - « Prépares toi bien, … au fait as-tu un polaroid, … » - « Oui, … qu’est ce que tu as inventé, … » - « Je pense à ta fourrure, … on va la modifier, … l’améliorer, … » - « Qu’est-ce que tu vas encore inventer, … » - « Tu vas t’installer ...
    ... confortablement dans ton fauteuil, … les cuisses bien écartées, … et tu prends une photo de ta jolie fourrure, … et tu amènes la photo, … » - « Il est complètement marteau, … c’est pas possible, … et il est certain que je vais faire ces bêtises, … » - « A tout à l’heure ma belle, … écartes tes jolies cuisses, que je goutte à ta chatte, … » et je raccrochais.
    
    A midi à peine passé, j’étais dans l’entrepôt et me garais, en marche arrière, là, ou Stéphanie pouvait m’apercevoir. Une poignée de secondes et elle sortait de son bureau, un sac à la main, vêtue de son imper, mais ouvert, et marchant à grands pas, ce qui faisait que sa jupe ouverte devant s’ouvrait sur ses cuisses, détail que seul je pouvais apprécier, les pans de l’imper encadrant la démonstration, ce qui entraina chez moi, une certaine excitation. Enfin arrivant au niveau de la voiture, elle se pencha pour dire bonjour, non, pour montrer un décolleté profond, s’ouvrant sur ses seins libres de toute contrainte. S’étant assurée que je m’étais bien et généreusement rincé l’œil à sa jolie démonstration elle ouvrit la portière et s’installa dans la voiture, avec un sourire : « En avant chauffeur, … ça t’as plu, …ou m’emmènes-tu, … - « - « Chez moi, … » - « Je ne te savais pas cuisinier, … » - « Moi, non, mais j’ai un excellent traiteur, … donc avant de venir je suis passé chez lui, ... » Pendant cet échange, sa jupe s’était ouverte (involontairement naturellement) et j’avais une vue sur ses cuisses, aussitôt cet aperçu, je posais ma ...
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