Chère lectrice rousse aux petits seins 2, partie 2
Datte: 14/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mysterious1991, Source: Hds
... toi, tu es toute sauf passive. Oh… non. C’est même tout le contraire. Candice… Continue… C’est comme tout à l’heure, quand tu étais sur les genoux, quand tu m’as fait cette pipe qui me laisse, là encore, dans tous mes états. Tu t’y prends bien. Et là, même si tu ne me vois temporairement plus… Tu me sens. Oui… Tu ne peux que me sentir tout entier, enfoncé en toi. Tu as tes mains posées sur mon corps et tu les laisses me parcourir comme bon te semble. Ça fait que je vais… et que je viens entre tes reins, ma muse. Ma jolie rousse… Tu ne peux pas me voir, là. Mais… Tu sais que je suis tout contre toi. Tu me parles et tu me dis que tu es trempée, brûlante. Tu me dis que j’ai l’air d’être bien à l’intérieur de ton vagin étant donné que je suis on-ne-peut-plus gros et que je n’en finis plus de m’en aller puis de revenir. Tu viens de dire ça, Candice… Moi? Ça rentre par une oreille mais… attention…! Ça ne ressort pas par l’autre. Je te regarde. J’essaie de m’imaginer tes yeux, leur éclat, leur expression. Je t’admire, ma Mona Lisa rousse et aux petits seins. Je suis partagé… Tu es émoustillante, les yeux bandés. Et… dans le même temps, j’aime te regarder et te bouffer des yeux. Le choix est cornélien. Ce que je sais, en revanche, c’est que ce n’est que pur délice d’être en toi, de te faire l’amour.
(…)
Si tu savais à quel point tu ravives les flammes de notre sensualité quand tu te caresses et que l’instant d’après, tu te mords la lèvre, Candice… Là, ce n’est même plus ...
... raviver cette flamme. Non… Tu jettes carrément de l’huile sur le feu, ma chérie! Tu croyais que je n’aurais rien remarqué, que je n’aurais pas découvert ton petit jeu, Candice? Tu as eu tort. Car oui, tu es un appel au crime, aujourd’hui.
Tu restes le même appel au crime, ma chère lectrice… et désormais maîtresse. Tes longs cheveux roux et tes yeux espiègles, en permanence expressifs, de féline… Tes petits seins en poires et leurs tétons qui sont allongés parce qu’ils pleurent de désir ET de plaisir… Tes sous-vêtements en froufrous dont tu raffoles et ton mont de Vénus couleur flamme… Ta belle «petite» chatte rose, inondée et on-ne-peut-plus éclose… Et à présent, ton anus qui apparaît et que je ne peux que voir puisque tu as décidé de ton propre chef d’écarter de manière carrément outrageuse, là, tes jambes. Même si tes yeux sont plongés dans le noir, je suis convaincu que tu me regardes… et que tu ne me lâches pas. À… mon avis… ce sont tes quatre autres sens qui te guident. Je me suis relevé pour te permettre d’écarter les cuisses. Auparavant, c’était pour que tu te masturbes pendant que je te pénétrais. Un nouveau cadeau, alors, que tu veux me faire, Candice? À mon tour de te regarder et de ne plus te lâcher… Là. Je vais… et je viens plus fort. Je te prends. Je te baise…
(…)
La dernière fois, j'ai cru remarquer que tu apprécies d'être à quatre pattes, en levrette, réceptive à l'homme qui te fait l'amour. Candice… A… lors… Ça corrobore ce que tu m'as écrit dans nos ...