1. La foire expo


    Datte: 12/01/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... elle écarta ses cuisses pour le regarder.
    
    - Tu te rends compte, si j’ai envie, je lui dis d’ouvrir la bouche et je peux lui pisser dedans. Wouah !
    
    Louis commença à sentir de la mouille tomber sur ses lèvres. Il n’était pas le seul à être excité. Un petit mouvement imperceptible et Il se mis à la lécher. Elle se releva d’un bond.
    
    - Qui t’a permis, espèce de sous merde ! Aller, file dans ta niche. Avant de les acheter, je veux les essayer mes chiottes, je veux me rendre compte si ta face de larve est adaptée à ma grotte, je veux savoir si tu mérites de me lécher le cul !
    
    Décidément, elles alternaient le chaud et le froid, Louis croyait pourtant bien faire et ne savait plus comment me faire pardonner. Un esclave à toujours tort envers ses maîtresses. Il se dépêcha de glisser la tête dans le wc, il ne s’appartenait plus, retrouvant la boule d’angoisse que connaissent tous les esclaves lorsqu’ils veulent plaire à leurs maîtresses mais ne savent plus comment faire.
    
    Sans se presser, Mouna vint s’installer sur le siège. Dix bons centimètres séparaient le visage de Louis des fesses de la belle. Vision magnifique, point de vue unique pour détailler ces endroits secrets et intimes du corps féminin. Les formes des sexes féminins sont aussi diverses que celles des sexes masculins. Le minou de Mouna était aussi raffiné que sa propriétaire. Le mont de Vénus complètement glabre, Louis pouvait voir deux longs bourrelets coincés entre les cuisses, ils étaient coupés en deux par ...
    ... une longue fente qui se prolongeait derrière par la raie culière de la maîtresse. Au milieu de la fente, deux petites lèvres délicatement fripées et insolentes essayaient de se frayer un chemin.
    
    De temps en temps, comme d’un robinet mal fermé, une goutte de cyprine réussissait à passer au bord de ces lèvres, Louis avait la gorge sèche mais il n’osait pas bouger pour ne pas provoquer le courroux de maîtresse Mouna. Il avait beau tendre la langue, il ne pouvait pas attraper cette goutte du précieux jus qui invariablement tombait sur le bas de son menton. Brusquement, il sentit une poussée sur la tête et sa bouche fut propulsée vers la source divine. Il avait compris qu'il pouvait enfin sucer ce sexe. Tout en dégustant une mouille abondante et bandant comme un cheval, il se rendait bien compte du privilège inouï dont il bénéficiait.
    
    Dans le même temps, Il senti que Raïssa s’intéressait à sa queue. Elle la lui caressait doucement de bas en haut. Mouna lui avait bien proposé de se mettre à califourchon sur L'esclave, mais il cru comprendre que Raïssa ne voulait pas perdre sa virginité. Ses gestes saccadés et maladroits le torturaient de bonheur. C’est le moment que choisit Mouna pour éloigner sa tête et il pu voir le plus beau des spectacles. Un petit frémissement de ses petites lèvres, l’apparition du liquide doré au bord de celles-ci précédant un premier jet hésitant. Il ouvrit la bouche en grand, buvant sa maîtresse. Sa bite se tendit prête à exploser. Raïssa poussait des ...