1. La foire expo


    Datte: 12/01/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... as une touche. Ce n’est pas le genre de notre clientèle habituelle et je n’aurais jamais pensé qu’elles pouvaient s’intéresser au type de matériel que nous vendons. J’ai voulu les décourager en indiquant un prix quatre fois supérieur mais apparemment, ça ne les décourage pas. Tu viens ?
    
    Curieux, Louis la suivi sur l’estrade en roulant un peu des mécaniques, plutôt flatté. Il reconnut immédiatement les deux gamines qu’il avait remarquées la veille. Louis avait une trentaine d’année et fréquentait d’habitude des femmes plus accomplies. Celles-ci devaient avoir à peine vingt ans et à cet âge les filles ne fréquentaient pas encore les milieux SM. Néanmoins, si elles avaient pu venir ici cela prouvait qu’elles avaient des appuis importants et étaient certainement très riches. Il se devait donc de leur être agréable. Tout sourire, prenant une pose avantageuse, il s’apprêtait à s’enquérir de leurs interrogations lorsque l’une d’elles, contournant le bureau, lui fit un signe impérieux de l’index.
    
    - Approche !
    
    La voix était acidulée mais le ton n’admettait pas réplique. Il s’approcha au bord de l’estrade, sourire figé.
    
    - Sort ta queue !
    
    Il hésita, il n’y avait presque personne mais le salon était encore ouvert. Mais il avait simplement oublié qu’il était un esclave pour ces dames. Après quelques instants de flottement, il se dit qu’après tout, les gens ici n’étaient pas des enfants de cœur. Un peu moins fier, il baissa son zip et sortis une bite au repos.
    
    - Eh bien, ...
    ... Raïssa, que crois-tu que l’on puisse faire avec ça ?
    
    Cela dit avec un profond mépris. Ladite Raïssa s’approcha à son tour, Sans complexe, elle se saisit de la bite sans prendre de précautions, sans en demander l’autorisation, la souleva, l'étira et la regarda sous toutes les coutures. Ses doigts étaient fins et longs, ils se terminaient par de très longs ongles vernis de bleu. Manifestement, ces mains n’avaient jamais travaillé. Louis remarqua deux superbes bagues avec les plus gros saphirs qu’il n’avait jamais vu et au poignet, une montre très fine, toute en or et diamants.
    
    Rien à voir avec les bijoux, mais la douceur de sa main eut tôt fait de rendre la verge plus présentable. Mireille s’approcha. A mi-voix pour ne pas se mettre à dos de si riches clientes :
    
    - Mesdemoiselles, je vous prie, nous sommes en public !
    
    Les jeunes filles jetèrent un œil autour d’elles et décidèrent.
    
    - D’accord, on va s’isoler derrière le rideau. Amènes-toi.
    
    Encore une fois, elles ne demandaient rien, elles ordonnaient. Louis ne pu retenir un délicieux frisson lui parcourir le dos. Il étais vexé mais, à sa grande surprise, se faire traiter de cette façon par des gamines l’excitait terriblement. Des gamines qui sortaient à peine de l’enfance. Le temps n’était pas très loin ou elles jouaient encore à la poupée.
    
    Tout en les suivant, il eut le temps de les détailler. Elles se ressemblaient étrangement, 1 m 70 environ, des cheveux longs noirs de jais encadrant des visages de types ...
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