1. La foire expo


    Datte: 12/01/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... potentielles, il était accompagné et dirigé par Mireille, une ancienne professionnelle avec de beaux restes. Le stand était petit, à peine visible au milieu des autres. Si ce n’est la bannière accrocheuse "human toilets", on ne l’aurait même pas remarqué. Pourquoi en anglais ? Certainement pour paraître moins cru.
    
    L’exposition n’ouvrait que l’après-midi. Il n’y avait presque pas eu de publicité, et donc très peu de visiteurs, quelques messieurs, de ceux que l’on voit entrer furtivement dans les sex-shops, ils en avaient certainement eu connaissance par le bouche à oreille. Quelques professionnelles espérant peu être trouver de l’inspiration. Il faut dire que l’on avait vite fait le tour. Quelques vitrines exposaient des reliques, ceintures de chasteté, gode en bois précieux, cravaches, etc.… Quelques écrits datant de bien avant le divin marquis, tous ce qui était ancien était sous verre. A côté, quelques stands, des éditeurs, des sex-shops, une association de sado-masochistes représentée par deux esclaves, un homme et une femme curieusement habillée comme n’importe qui. En fait, l’animation commençait le soir quand l’expo officielle fermait. L’accès se faisait par invitation et était réservé à une certaine élite. Il valait mieux être connu, artiste, sportif, politique ou alors, être membre du cercle restreint des initiés, dernière possibilité, être très riche.
    
    Le stand "human toilets" était très simple, une estrade, sur le devant de l’estrade, un petit bureau et au ...
    ... fond trônait…. Le trône, celui-ci entouré d’un rideau qui permettait aux clientes de s’isoler lors des essais.
    
    Ce trône était quand même particulier. C’était un grand cube en matière translucide avec outre l'emplacement traditionnel pour s'asseoir, deux trous, un à l’avant et un à l’arrière, permettant à l’esclave de passer sa tête et se mettre dans la position que lui ordonnait la maîtresse. Sur le dessus, les abattants étaient peints couleur or donnant un air très chic à un meuble qu’en général on ne regarde pas si ce n’est pour ne pas le rater. Au milieu du cube, un avant-bras stylisé en bois se terminant par une main ouverte paume en haut. C’est sur cette main que l’esclave posait sa tête.
    
    Avec son expérience, Louis avait suggéré à l’artisan de rendre ce bras articulé. Grâce à un levier, la main pouvait se lever ou se baisser permettant ainsi à l’utilisatrice de coller la tête de l’esclave contre sa vulve ou au contraire, de l’éloigner. Un autre levier permettait d’avancer ou de reculer la tête de l’esclave selon que la maîtresse désirait se faire lécher le sexe ou le cul. En option, ultime sophistication, quatre micros caméras pouvaient être disposées aux endroits stratégiques. Il était donc possible pour la maîtresse et ses amis d’avoir des points de vue unique et en direct sur un grand écran placé devant elle. Pour des raisons financières, les caméras et les écrans n’étaient pas installés sur le stand.
    
    Chaque exposant qui le souhaitait avait droit de faire une ...
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