1. Fessée et dessert


    Datte: 11/01/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, jeunes, oncletante, fête, fsoumise, fdomine, odeurs, Oral yeuxbandés, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Puis, l’alcool fit son effet et l’incendie reprit de plus belle, attisé par un rude massage qui mettait au supplice chaque ecchymose du haut des cuisses au bas des reins.
    
    Colette gigotait, gémissait, ruait, priait, se tortillait, tentait de fuir les furieuses morsures qui l’embrasaient, mais Clémence la maintenait solidement. Irène lui bloqua les chevilles pendant que Gwladys procédait à une nouvelle aspersion. Le sillon largement écarté pour l’occasion permit à la seconde rasade de couler sur toute sa longueur, baignant au passage l’anus pour inonder au final la chatte entrouverte. La sensation de brûlure envahissant les muqueuses coupa le souffle à la patiente.
    
    Les soignantes l’obligèrent à patienter (sustine et abstine ! ) jusqu’à la parfaite perfusion du désinfectant dans l’épiderme que leurs doigts pétrissaient vigoureusement. La bienveillance de Gwladys ajouta toutefois une masturbation profonde qui, si elle décuplait l’irritation des chairs, avait l’avantage d’associer le plaisir à la peine. Colette endura celle-ci pour mieux se donner à l’autre et bientôt le premier l’emporta sans partage.
    
    La jouissance repoussa la souffrance, et de cette délivrance naquit la reconnaissance que Colette conçut envers Gwladys, heureux prélude à la naissance de leur affection mutuelle. Une crème apaisante étalée sur les fesses torturées chassa ensuite le double incendie de la canne et du révulsif. L’endolorissement des muscles persistait mais les tourments de la peau ...
    ... s’adoucissaient. La viscosité du produit incitait d’autre part à une nouvelle branlette dont la bienfaitrice ne priva pas sa protégée. L’expulsion gratifiante d’une abondante mouille lui confirma tant l’efficacité du traitement que la sincérité des remerciements de la bénéficiaire.
    
    Colette récupérait. Gwladys et Clémence la cajolaient. Irène s’était retirée avec les potions réparatrices. Les convives assouvies et la bouche lasse ne lapaient plus leur dessert plusieurs fois renouvelé. Les lèvres des coupes délaissées en palpitaient encore de bonheur et de fatigue. Un calme silence régnait, à peine troublé de loin en loin par un soupir repu.
    
    Ève s’étira. Irène revenait, les bras chargés d’un seau à champagne. Le tintement des glaçons et des bouteilles réveillait les consciences des suivantes et des invitées. La maîtresse de maison reprit son rôle d’hôtesse attentionnée.
    
    — Chères Amies, il est temps de conclure notre repas sur une note pétillante… Et même plusieurs, qui nous stimuleront pour toutes les heures à venir. À nous toutes !!
    
    Les sons cristallins d’un joyeux concert de flûtes entrechoquées et de souhaits entrecroisés saluèrent chaleureusement cette prédiction. Colette et Clémence trinquèrent avec les autres. La hiérarchie des relations semblait être oubliée. Nulle ne se souciait de qui elle embrassait. Les gorgées s’échangeaient comme vœux de santé et chacune réclamait un complément de bulles pour honorer une nouvelle partenaire.
    
    La troisième bouteille se trouva ...
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