Simon - Histoires de Sexe

Simon

... verre.

— Non, dans mon imaginaire, tu étais plus indécente, plus lubrique.
— Ton imaginaire te joue des tours. Je ne suis jamais lubrique…
— C’est ce que tu crois. Tu ne l’as jamais été mais tu vas l’être pour moi et y prendre beaucoup de plaisir. Donne-moi la flûte. Viens t’agenouiller sur le lit, dos à moi, c’est ça, croise les bras sur le drap et pose ta tête dessus.

J’ai suivi à la lettre les étapes.

— Tends tes fesses maintenant. Oui, c’est bien ! Tu as un joli cul ! Aussi réussi que dans mes rêves les plus fous. Maintenant, remue-le pour appeler mes caresses, ma langue. Oh ! C’est beau, c’est bien ! Tu sens comme tu es indécente, obscène ainsi ?
— Oui, je le sens !

Je me cambre le plus possible, je me livre totalement comme jamais !

Simon ordonne, je me soumets. Jamais je n’ai obéi à un amant. Mais Simon est mon maître, il me domine et j’aime ça !

Je sens sa bouche, ses mains, ses doigts indiscrets et sans tabous. Je ressens une frénésie, une force qu’il n’y avait pas tout à l’heure. Est-ce cette position(originale pour moi) ou cette fouille coquine et puissante qui ravive mon excitation. Mais lorsque sa langue joue avec ma rosette et qu’un doigt pénètre les lèvres, je m’agite malgré moi. C’est mon corps qui appelle à plus, à un « plus » total. Je jouis à nouveau. Il me donne des tapes sur mes fesses pendant que je crie(encore !) de plaisir.

Il s’écarte, nous ressert pendant que je récupère.

— Tout est au-delà de ce que j’espérais.
— Mais tu ...

... n’as fait que t’occuper de moi ! Tu es encore tout habillé que j’ai déjà joui trois fois…
— Quel beau spectacle, quelles merveilles tu m’as offerts !
— Tu n’as pas envie de plus ? Tu ne veux pas ?
— Oui mais la nuit n’est pas finie. Je vais me répandre dans tes trois orifices et t’entendre encore crier, encore et encore. Je te veux tendre et obscène, à la recherche de mon plaisir. Déshabille-moi !

J’obtempère. Il est en pleine érection. A-t-il débandé depuis que nous sommes dans cette chambre ?

Il s’allonge sur le dos. Je me mets au-dessus de lui, les fesses à hauteur de son visage alors que je le prends en bouche. Je n’apprécie pas la consistance du sperme et me suis toujours refusée à le recevoir. Mais je vais faire une exception pour ce mât. À peine quatre allers et retours de mes lèvres, qu’il décharge une quantité phénoménale en moi ! Je m’applique à tout avaler. Finalement, le goût est assez insipide. Je suis fière de l’effet que je produis.

Je m’allonge contre lui, nous nous embrassons tendrement. Il me glisse alors dans l’oreille :

— Tu vas me sucer les doigts de pieds. Je suis sûr que tu sauras bien t’y prendre, ensuite tu remonteras avec la bouche le long de mes jambes, de mon ventre et de ma poitrine, tu mordilleras ma nuque en t’empalant le plus profondément possible. Et tu me chevaucheras en jouant avec tes seins jusqu’à ce que je me vide dans ton mon vagin.
— Je dois aller prendre une capote.
— Non, tu n’as comme partenaire que Maxime et jusqu’à ...