1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Balade vers la cascade du hérisson (1/2)


    Datte: 10/01/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... de sa cuisine quand on passe à proximité.
    
    Il a toujours son éternel mégot éteint au coin des lèvres.
    
    Comme à son habitude, il se gratte les couilles sans gêne, à croire qu’il a des morpions.
    
    Là, je peux en témoigner, je l’ai assez sucé pour savoir que non.
    
    Ce doit être un tic et connaissant le personnage, pendant que Pierre contourne sa voiture pour prendre le volant, je monte à la place du mort rapidement.
    
    Toujours un peu taquine, je me prends à m’exhiber en montrant mon intimité dénudée à ce vieux saligaud.
    
    Pierre qui n’a rien remarqué s’installe.
    
    Nous démarrons, je me doute que mon audace je vais la payer dans les jours prochains.
    
    Il fait beau, il fait chaud quand je sens une main qui remonte vers ma chatte.
    
    Je dois rêver, Pierre m’ayant fait comprendre que baiser c’est très peu pour lui à son âge.
    
    Un grand coup de frein, je me réveille, c’était bien lui qui a eu cette audace, au risque de manquer le virage que nous venons de passer.
    
    • C’est malin, que tu veuilles me chauffer, je peux comprendre, mais que tu nous envoies dans le décor, c’est autre chose.
    
    Il y a un chemin sur la droite, il tourne sans attendre, allant se garer le long d’une haie sous un arbre.
    
    Le moteur coupé, je me penche, Pierre a déjà ouvert sa braguette et sorti sa queue à moitié bandée.
    
    Un instant, j’ai la tentation de la comparer à celle de Julien, qui est très grosse et noueuse, mais j’ai trop pleuré qu’il ait refusé de me sauter ce matin pour faire la fine ...
    ... bouche.
    
    Bouche qui l’avale jusqu’aux couilles.
    
    Je dois reconnaître que ça aurait été difficile de faire pareil avec mon amant.
    
    • Descendons, on va tacher mes sièges !
    
    Quand je disais qu’il prenait soin plus de sa voiture que de moi, bien que d’avoir le volant dans les reins, à mon âge, très peu pour moi.
    
    Je préfère et de loin que Pierre me baise sur le capot de sa voiture, c’est plus confortable.
    
    Nous descendons, je le rejoins et m’agenouillant, je suis encore assez souple pour cela, je reprends ma fellation.
    
    En peu de temps, il est opérationnel, assez dur pour pouvoir me pénétrer.
    
    Il m’aide à me relever sans aucun détour, m’ouvre ma robe pour mieux empoigner mes seins et me couche sur le capot.
    
    Je sens une légère brûlure avant qu’il ne me les empoigne et il met son pieu dans la chatte.
    
    Oubliés les Suédois randonneurs, oublié Jules, un peu moins Julien malgré son âge me défonçant comme une reine.
    
    Je deviens chienne lorsqu’il me donne de grands coups de queue.
    
    Je me prends à hurler mon plaisir au gland du chêne sous lequel la voiture est garée avant qu’il ne décharge au moment où l’orgasme nous traverse.
    
    • Ben, ma salope, te faire baiser sur le capot de ta voiture, à ton âge, ça me rassure sur mon avenir avec Saturnin, bien qu’il ait du mal à bander à force de picoler.
    
    Qui vient de prononcer ces mots ?
    
    Je me retourne comme si un essaim de frelons était venu m’agresser en faisant retomber ma robe sur ma chatte et en la reboutonnant ...