1. INITIATION PERVERSE 5ème partie et fin


    Datte: 09/01/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Claudy2316, Source: Hds

    ... jour......
    
    Un vendredi soir de novembre, je rentrais à la maison, sans être passée par la case cagibi de la gare. Dés mon arrivée, je sentis un malaise: Si papa m'accueillit avec chaleur, me questionnant sur ma journée de lycée, Maman ne desserrait pas les dents et me jetait des regards assassins. je m'éclipsais donc rapidement dans ma chambre ne revenant que brièvement pour le dîner. Le samedi matin , j'avais entendu mon père partir à la chasse ou à la pêche. et je m'apprêtais à une grasse matinée confortable quand j'entendis une voiture s'arrêter devant le portail et peu de temps après un impératif "dépêche toi de te lever et de descendre" qui me ramena aux inquiétudes de la veille. M'éternisant pour différer "l' engeulade" à venir ( soupçonnant la découverte de quelque mégot oublié ou d'une trahison en rapport avec ça), j'attendis le 2ème appel. Le ton n'incitait cependant pas à en rajouter. En robe de chambre et trainant des pantoufles je pénétrai donc dans la cuisine.
    
    Tout de suite je sus que l'on n' était pas dans une histoire de cigarettes ou de joint. Ma mère était assise, raide comme un piquet, lèvres pincées et surtout, je découvris mon frère, blanc comme un mort, mâchoires crispées, appuyé après le radiateur.
    
    Mon frère Jean Pierre, colosse de 1m90, étudiant en école d'ingénieur à Bordeaux, rugbyman de haut niveau, dont le principal amusement consistait à se mettre des peignées avec des collègues de son acabit , au cœur des mêlées les dimanches de match. ...
    ... Protecteur autoproclamé et un peu lourdingue de sa petite sœur et de ses copines, les jours de fêtes et les soirs de bal et dont un seul regard décourageait les prétendants qui ne lui plaisaient pas.(hormis les rugbymen, personne ne lui plaisait d'ailleurs). Il revenait une fois par mois de son école, ou quand il n'y avait pas de match, soit avec un œil au beurre noir soit avec quelques ecchymoses sur le pif et ce jour là il n'aurait pas du être là! Si l'on avait rapatrié en urgence la terreur des bacs à sable (comme je l'appelais) c'était comme l'on dit maintenant que "c'était du lourd" L'absence de l'autorité parentale suprême m'intriguait et me rassurait cependant un peu (Il n'y aurait pas de décision irrémédiable sans lui) je comprenais cependant, petit à petit (ou plutôt à toute vitesse) qu'on venait sans doute d'apprendre ma liaison avec un homme marié et que ça allait chauffer .Hélas, j'étais en dessous de la vérité!!!!
    
    Je regardai en fanfaronnant mon frangin : - "Qu'est ce que tu fais là?" Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'il bondit en avant me balançant une monstrueuse paire de baffes qui me fit traverser la moitié de la cuisine. A partir de là , ce fut un déchainement de hurlements: moi le traitant de tous les noms en essuyant mon nez ensanglanté, maman hurlant après lui et après moi......
    
    Quand tout fut calmé , maman me tendit une lettre: l'horreur absolue!!!!!
    
    Reçue par courrier, Roméo( car c'était de lui) y décrivait ma débauche en des termes les ...
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