1. Soutien scolaire et soutien-gorge


    Datte: 08/01/2024, Catégories: fh, ff, ffh, grp, hplusag, jeunes, profélève, grosseins, poilu(e)s, fépilée, école, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, chantage, contrainte, cérébral, photofilm, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, confession, prof, dominatio, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... déverse à grand flot. Toute la montagne vacille, le temple s’effondre et je chois de plaisir.Indiana m’a vaincue, mais le voilà à présent devant son supplice de Tantale, le Saint des saints, la merveilleuse et inatteignable Élodie.
    
    Je me relève plus tard, Guy trépigne sur sa chaise, son érection ne passe pas. Je m’en veux, encore une fois je n’ai pensé qu’à moi, je me précipite vers Élodie et je vérifie avec ma langue si le nettoyage de Guy est satisfaisant. J’oriente la table de manière qu’il puisse observer tous mes contrôles. Élodie semble satisfaite de mes investigations approfondies et pousse des gémissements. Le phallus de Guy semble gonfler de minute en minute. Pauvre Monsieur Materasi, ai-je été trop sévère avec lui ? Je décide de lui donner un peu de mou.
    
    J’attache ses pieds et ses poignets avec les quatre soutiens-gorges, il me regarde abasourdi. Ces soutiens-gorges sont de vrais filins à pêche, aucun risque qu’ils cassent, j’accroche l’autre côté des soutiens-gorges sur un vieux radiateur fixé au mur, puis je détache la corde. Guy est comme fou, il ne peut s’avancer que jusqu’à un point limite. J’approche alors la table de ce point limite.
    
    — Monsieur Materasi, voudriez-vous avoir l’obligeance de lécher Élodie, s’il vous plaît ?
    
    Il tire tant qu’il peut sur ses attaches, mais sa langue ne peut flirter qu’avec le haut des cuisses. Il a au moins l’occasion de récolter les humeurs qui s’écoulent.
    
    On frappe durement à la porte, ni Élodie à moitié ...
    ... gémissante ni Guy à moitié fou ne réagissent. J’entends une voix grave africaine masculine, sûrement un gardien, j’hésite, mais les gémissements, les plaintes et les « han han » nous trahissent. J’ouvre la porte, c’est un Sénégalais du quartier vêtu en gardien. Je m’essaie avec le demi-mot de Wolof que je connais et un immense sourire.
    
    — Salam Aleikoum, mon frère !
    — Aleikoum Salam, ma sœur, qu’est-ce que vous faites là ?
    — On répète une pièce de théâtre pour l’école, on est en retard.
    — Ah ? Une pièce de théâtre où vous seriez tous nus ? Tu te fiches de moi ?
    — Euh… C’est du théâtre moderne, on est en Europe ici, pas au village. Si tu veux, tu peux répéter avec nous…
    
    Ses yeux stupéfaits roulent du corps d’Élodie au mien, puis reviennent sur la blonde. Je veux éviter absolument qu’il donne l’alerte, et lui propose :
    
    — On cherchait justement un acteur grand et fort comme toi, pour enfiler la blonde devant le vieux !
    — Je ne fais pas de théâtre, mais je crois que je suis capable de jouer ce genre de rôle !
    — Attention, il y a un scénario à respecter, c’est une pièce de théâtre.
    — OK ! Dis-moi, dis-moi !
    
    Le Sénégalais a déjà défait son pantalon sombre qui tombe sur ses bottines militaires. Ses cuisses, longues, puissantes et fuselées, sont un plaisir à regarder, et ses fesses, un régal. Son sexe est déjà érigé, à croire que les Sénégalais sont atteints de priapisme congénital.
    
    Je le guide, il soulève Élodie comme une plume, elle a une jambe par terre et l’autre ...
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