Soutien scolaire et soutien-gorge - Histoires de Sexe

Soutien scolaire et soutien-gorge

... l’a amusé. Il a toujours une petite érection. Dès qu’il voit mon regard sombre, son visage se fige dans une expression de frayeur.

— Enlevez le shorty d’Élodie, vous allez l’abîmer, et asseyez-vous sur la chaise.

Il obéit sans broncher.

— Élodie, attache-le avec la corde là-bas !
— Quoi ? Non, je refuse d’être attaché !
— Vous n’avez pas le choix, Monsieur Materasi. Soit vous obéissez, soit vous allez apprendre à connaître Facebook, Instagram, Tik Tok et YouTube. Les photos sont déjà sur les serveurs de ces réseaux sociaux, pour l’instant dans l’espace privé.

Finalement en maugréant, Guy tend ses bras en avant, poignet contre poignet en signe de reddition. Son érection a disparu, je lui en fais le reproche et il me répond.

— Mais, Samia, pour qu’il y ait érection, il faut du désir, de l’amour. Justement, ça fait partie des cours de biologie, mais tu n’as pas écouté cette partie, tu as voulu aller trop vite.
— Ah, Monsieur Materasi ! Cessez de me parler de désir et d’amour, contentez-vous de bander ! Sinon je vous scotche la bouche.

Une fois Guy bien attaché, je coince le shorty sur son crâne dégarni en lui affirmant que sa calvitie m’exaspère. Il rouspète, Élodie pouffe. Elle est là avec le slip ridicule et trop large qu’elle est obligée de tenir d’une main.

Je me déshabille rapidement, puis je viens m’agenouiller, nue, devant Élodie. Je fais descendre le slip, sa toison dorée coupée en rectangle m’apparaît… Je ne peux m’empêcher d’y plonger mon ...

... nez. Quelques centimètres plus bas, ma langue s’active déjà contre l’intimité d’Élodie, ses chairs ne résistent pas et ma petite lécheuse déterminée trouve rapidement le bouton d’or. L’horrible Monsieur Materasi intervient.

— Hé ! Mais qu’est-ce que vous faites ?

Sans me retourner, je lui balance une claque bruyante sur les cuisses, puis je demande à Élodie de le gifler et de le corriger. J’entends juste un tapotement sur la joue et une remontrance.

— Si cela ne vous plaît pas, Guy, vous n’avez qu’à fermer les yeux ! On ne vous oblige pas de nous mater sans cesse.

Élodie pousse quelques gémissements sous mes caresses, ses cuisses se sont écartées pour me laisser aller sous son périnée. Je m’introduis en elle aussi loin que je le peux, et je l’aspire, je la lape, elle gémit encore.

— Je ne pourrais jamais tenir. Vous m’entendez ?

Je me retourne et me porte à la hauteur de Guy. Je le regarde intensément puis je l’embrasse autoritairement, ma langue pénétrant sa bouche afin de lui communiquer tout ce que j’ai récolté chez Élodie. Heureux homme ! Lors de mon passage éclair, je constate que son sexe est déjà redressé, je lui fais une caresse furtive enveloppante et je retourne embrasser Élodie.

Nos bouches se dévorent, je m’enivre de sa peau, je suis humide. Je porte mon visage sur son ventre, je lèche son nombril, je respire son épiderme, je le suce, mes mains vont et viennent sur son torse. Je presse à nouveau ses seins que je ne peux toujours pas empaumer ...