COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise (4/6)
Datte: 06/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... draps de soie et j’ai écarté mes jambes montrant mon vagin, parfaitement entretenue par l’esthéticienne aux yeux bridés, elle aussi venant chaque mercredi matin.
• Commande pour toi, je vais manger les croissants.
Un, deux, poussé sur les touches et entrant dans le logiciel, je commande au hasard, le principal, c’est que les yakusas de Tonton viennent me débarrasser de cet objet encombrant.
Dans une heure, j’ai un client qui doit venir.
Ça sonne, dommage, la langue de celui qui voulait me dominer est très agile et je suis à deux doigts d’être rattrapé par un orgasme.
• On continuera après, va ouvrir, remet mon déshabillé.
Il le fait, je me caresse le bouton finissant le travail.
• Non.
Je me lève avec regret et nue, je vais vers la porte.
Benoît est tenu par les deux gars qui sont arrivés en sept minutes.
• Merci messieurs, d’être intervenue.
Ce petit con voulait faire de moi sa pute, débarrassez-m’en, mais juste ce qu’il faut pour qu’il comprenne que je suis loin d’être une femme seule.
Je m’approche d’eux fière dans ma nudité.
Le déshabillé est ouvert, je lui prends les couilles que je tords.
• Dommage, tu t’y serais pris autrement, tu aurais pu, peut-être passer plus de temps dans mon lit.
Allez-y, emmenez-le !
Mais dans les limites que je vous ai données.
Le regard des deux yakusas, l’un identique au moment de l’essai lors de la présence de Gilles et Tonton, l’autre plus jeune nouveau pour moi.
Le regard vers mon ...
... corps des deux hommes aussi tatoué l’un que l’autre m’a donné une idée, il fallait que je pense à mon avenir.
Voilà comment dans ce milieu je me suis débarrassée de ce petit intrus.
Je suis revenue sur ce petit problème, qui m’a fait prendre conscience que je vaux bien mieux que la pute que mon tonton Fujiko ait voulu faire de moi.
J’ai parlé du regard de ses hommes de main, c’est par eux que mon envie de puissance doit passer.
Quelques jours et je décide de prendre du poids dans l’organisation.
Je prends mon portable.
« SUSHIS, SUSHIS. »
Au mince, c’est une erreur, je voulais commander mes préférés et j’ai appelé ma sécurité.
• Madame Hanabi, on est là.
Quelqu’un vous veut du mal ?
• C’était une erreur, heureux de vous voir, ça fait trois fois, vous êtes le chef de ces jeunes garçons !
Vous en avez combien sous vos ordres.
• Je dois garder cela pour moi.
• Oui, mais je suis Hanabi, la nièce de votre patron, renvoyez votre soldat et venez boire un saké avec moi.
• C’est impossible, nous devons rester toujours en présence l’un de l’autre.
• Alors quand il y en a pour un, il y en a pour deux.
Entrer, il y a assez de verre pour trois.
Tient c’est bizarre, mon peignoir, le même que celui que portait Benoît quand monsieur Fuyumi est venu me sauver, tombe au sol.
• Vous voyez, quand il y en a pour un, je suis sûr de pouvoir en satisfaire deux.
Code d’honneur chez les yakusas, mais hommes tous de même, je me dirige vers ma chambre ...