COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (1/5)
Datte: 04/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
• Sophie, je vais te laisser, Brutus est dans la bétaillère, j’ai tout prévu pendant mon absence me rendant au salon de l’agriculture.
Je te laisse Gustave, notre commis, il sait s’y faire avec les vaches, tu peux entièrement lui faire confiance.
À part la jeune Rosette qui doit mettre bas dans plus de huit jours, aucune de celles qui sont pleines risque de vous poser des problèmes.
Je te laisse le numéro de téléphone du vétérinaire, il m’a promis de venir si tu avais le moindre souci.
C’est ainsi que j’ai fait un signe de la main à Antoine mon mari, qui me quitte pour un long moment avec notre taureau.
C’est le mâle qui a sailli Rosette en ma présence, il y a presque neuf mois.
Voir cette bête de race charolaise pesant 1 500 kilos pour Brutus et la moitié pour la vache lui monter sur le dos en sortant son immense pénis, j’ai eus mal pour elle.
Je me mets à rire à ce souvenir, je me suis remémoré ma première fois avec Antoine.
J’avais à peine vingt ans, j’étais vierge, je pesais 40 kilos, toute mouillée et lui déjà plus de 100 kilos.
Au village, dans mon dos, on nous appelait la belle et la bête.
Mon choix, un peu avec le temps, mais surtout après la réunion de nos parents, voyant d’un bon œil notre union et surtout celle de nos deux fermes.
Moi j’apportais principalement de la bonne terre et lui le corps de ferme.
Le soir de nos noces, j’ai vite compris que baiser dans la position du missionnaire si lui prenait son plaisir, moi je ...
... risquais de mourir écrasée.
J’avais beau être vierge, je connaissais le sexe par l’intermédiaire de copines de jeunesse au temps ou je leur disais, « moi, un agriculteur jamais, » qu’il était possible de se faire baiser dans d’autres positions.
Brutus montait ses pattes sur le dos de Rosette, Antoine a vite pris l’habitude de me saillir, pardon déformation du nombre de fois où j’ai vu nos taureaux saillir nos vaches.
Antoine a vite pris l’habitude de me faire l’amour, moi en levrette, lui sur ses genoux derrière moi.
Résultat deux filles, dix-neuf et dix-huit ans toutes deux en fac à Lyon.
Sandrine veut être biologue et Lucette qui vient d’avoir son bac, veut devenir vétérinaire.
Je sais qu’elles vont réussir, elles sont douées pour les études, au grand dam de mon mari qui se demande qui va prendre notre succession.
De mon côté, j’ai moins de souci, je me souviens des propos que je tenais sur le fait d’épouser un agriculteur.
Tous les jours vers 17 ou 18 heures, je me rends dans la stabulation des vaches, aider Antoine et Gustave à faire les litières avant de leur donner à manger.
À 20 heures, retour dans la maison, que nous avons fait construire dès notre mariage quittant le vieux corps de ferme où mes beaux-parents ont vécu dans le dénument le plus complet.
De plus en plus souvent, mon mari oubli que je suis une femme, comme moi je l’oublie crevé lorsque nous rentrons, les journées commençant à 6 heures et se finissant devant « plus belles la vie » ...