La Grosse Sucette de Papy (Partie 3)
Datte: 04/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CCCandice, Source: Hds
... mes seins les lubrifier et je sens sa queue, prisonnière de ma poitrine, glisser à l’intérieur dans un léger bruit de succion qui m’excite ! Je le vois, bouche ouverte, tête levée, prenant son pied, et je baisse mes lèvres jusque son manche : vue la taille, j’arrive sans mal à en prendre une bonne partie en bouche : il a un gout délicieux et je prends plaisir à faire tourner ma langue sur tout son gland englué de pré sperme. Il lâche à nouveau des « hum » de plaisir sonore et rocailleux et je sens sa grosses bite gorgée de sang se raidir. Je retire mes seins et cette fois, posant mes mains sur ses cuisses, j’enfourne l’intégralité de sa bite dans ma bouche, jusqu’à la garde. Je sens son gland caresser ma gorge après mes amygdales et je le ressors d’un coup sec, laissant de gros filets de salive . Il soupire longuement encore en faisant « oh ! » Et me regarde comme s’il n'y croyait pas ! Comme par défi, je refais la même chose, repensant à l’énorme gode de l’homme à la sucette. J’essaye de garder sa queue le plus longtemps possible et entière dans ma bouche, jusqu’à ce que je me sente en manque d’air : dans un bruit significatif d’engorgement, je ressors le membre, encore plus couvert de mon épaisse salive ! Je m’empare de sa bite gluante avec mes deux mains en le regardant – avec des yeux de chienne- et je l’astique à toute vitesse : - Candice ! Qu’est ce que c’est bon !
- Monsieur ! Je souffle dans un soupir. Je veux votre queue en moi !
Je viens me positionner à ...
... califourchon sur lui sans réfléchir, sa bite mouillante de salive et ma chatte dégoulinante de cyprine s’emboîtent instinctivement, comme si leurs routes avaient été toutes tracées ! Je relève la tête et pousse un long gémissement aigü, sans penser à me protéger. Il râle de plaisir longuement en relevant également sa tête et ses yeux me contemplent avec un désir fou. J’ai un souvenir qui me traverse l’esprit : je me remémore Bruno, dans ma voiture au milieu de nulle part en cette fin d’après midi neigeuse, lorsqu’il fût en moins sans capote. C’est-à-dire la dernière fois que j’ai été prise « à nue » sans protection, même Flavien n’y a pas eu droit ! Son énorme queue me touche le fond et je le chevauche rapidement, dans un besoin urgent d’être prise par cet homme. Il agrippe mes fesses volumineuses et très vite, sa bouche trouve les petits boutons de roses de mes seins. Je me cramponne contre lui en passant mes bras à son cou et continue ma folle chevauchée en poussant des cris aigus réguliers tant sa queue me fait un bien fou !
Tandis que je le chevauche, un de ses doigts pénètre mon anus. Il le masturbe longuement et je me sens décoller encore plus.
- Oui, oui, allez-y !
Je le regarde ; il a le teint rouge vif à présent et je sais que je ne dois pas être mieux. Sans réfléchir, j’avance mon visage vers le sien, il en fait de même et nos bouches s’entrelacent avant que sa langue ne rentre dans ma bouche, dansant avec la mienne. Il me ramone encore le cul avec son doigt et ...