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Un after-work inoubliable
Datte: 03/01/2024, Catégories: f, h, fh, hh, fhh, hbi, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, Oral fist, fdanus, occasion, Auteur: Lovefurs, Source: Revebebe
... aux petits soins pour les clients. La soirée avançait, mes amis étaient déjà partis. J’allais prendre congé de mes hôtes en les remerciant de leur accueil à leur table lorsque Mme Parissé m’interrompit : — Pourquoi ne viendriez-vous pas boire un verre à la maison avec Rodolphe afin de vous faire une idée du genre de biens qu’il peut proposer ? N’est-ce pas Xavier ? demanda-t-elle à son mari qui ne s’attendait pas à cette invitation. Xavier Parissé acquiesça en regardant son épouse puis en se tournant vers nous pour confirmer l’invitation. Rodolphe Keller déclina l’offre à regret en prétextant un rendez-vous très matinal le lendemain. Je m’apprêtai à répondre également par la négative quand Monsieur Parissé insista avant même que je n’aie pu dire un mot. Rodolphe s’éclipsa en nous saluant et en me tendant sa carte de visite. Puis le couple Parissé et moi nous dirigeâmes vers le vestiaire. Dans l’obscurité du bar lounge, je n’avais pas fait attention à la beauté extraordinaire de Sonia Parissé. Je m’étais bien évidemment rendu-compte que cette grande métisse était très jolie mais son élégance et la classe de sa combinaison-pantalon noire et dorée la rendait véritablement très sexy. Je dois bien avouer que la regarder déambuler jusqu’au vestiaire ne me laisser pas indifférent. Et ce n’était rien comparé au moment où elle enfila le petit blouson en lapin blanc immaculé qu’elle venait de récupérer au vestiaire. Je m’empressai d’ailleurs de la complimenter sur son ...
... élégance et notamment son manteau de fourrure. Elle me sourit pour seule réponse. Nous marchions dans la rue en discutant. Xavier et Sonia me racontaient leur achat et faisaient toujours plus d’éloges sur RDK Immobilier. Seul le claquement des hauts talons de Sonia venait perturber le silence des rues aixoises en ce début de nuit de décembre. La lueur des lampadaires venait jouer tour à tour avec la fourrure de son blouson dessinant des ombres dans lesquelles j’avais envie de plonger mes mains. Au bout d’une quinzaine de minutes de marche, le couple s’arrêta devant un vieux bâtiment en disant : — Nous y sommes ! Voici le palace que Rodolphe Keller nous a vendu… Je restai bouche bée, l’air idiot. Le bâtiment ressemblait plus à un entrepôt ou un garage automobile qu’à un immeuble de standing… Avec un petit sourire, Xavier ouvrit un rideau métallique derrière lequel un ascenseur apparut. Il était d’ailleurs plus question de monte-charge que d’ascenseur. Je me demandais encore quel était cet endroit mystérieux lorsque Xavier nous fit signe de le rejoindre. Son épouse se précipita dans ses bras et n’attendit même pas la fermeture du rideau pour l’embrasser tendrement. La montée dura une minute pendant laquelle ils s’étreignirent comme si je n’étais pas là. Leurs langues se mêlaient l’une à l’autre alors que les mains de Xavier se perdaient dans le lapin de Sonia comme j’avais rêvé de le faire quelques minutes plus tôt. Le monte-charge se stabilisa et avant d’actionner ...