La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1600)
Datte: 02/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... hésiter j’écartais davantage les cuisses.
- Mieux que ça, sale chienne !, insistait-il…
Comment faire mieux ? Je laissais mon bas-ventre à disposition, mains dans le dos, les jambes écartées plus encore.
- Tends-les-moi, ces burnes, bascule ton bassin en avant, petite pute… Oui c’est ça, soit comme ta mère, soit une bonne putain…
J’obéissais et je me trouvais parfaitement obscène dans cette posture, à tendre mes couilles ainsi. Mais très vite j’oubliais mon indécence, pour me fixer sur les derniers mots utilisés par le Majordome : ‘’… soit comme ta mère, soit une bonne putain !’’ Cette expression injurieuse avec une utilisation personnelle n’était que juron… mais pour moi, cette affirmation avait un tout autre sens, elle n’était pas si banale que ça ! Ma mère avait-elle été à la place de soumise Nala MDE ? C’était-elle fait engrosser par plusieurs soumis à la fois ? Impossible de réfléchir plus longtemps, le Majordome s’occupait de mes attributs masculins, il les pressait, les tordait, les étirait, les frappait… Je sursautais, grimaçais, geignais, mais en aucun cas je resserrais mes jambes… Finalement, Walter m’entrainait derrière lui, en me tenant par les burnes jusque vers le Maître reprenant son souffle. Il essuyait Son gland, tout juste sorti du cul d’Antoine, avec Ses doigts qu’il me portait ensuite à ma bouche. Je les Lui nettoyais doucement avec ma langue et mes lèvres sensuelles, me contentant que de cette modeste attention. Une douce délectation de ces ...
... fluides intimes qui m’enflammait de nouveau. Mais il y avait autre chose qui aiguisait mon appétit sexuel, ma libido exacerbée, c’était ses odeurs de cul, de cyprine, de sperme qui envahissaient la pièce, ajoutant ainsi un peu plus encore de lubricité à cet environnement charnel et concupiscent. Ma nouille était raide, une nouvelle fois tendue vers le ciel malgré la pression exercée par cette main de fer sur mes couilles.
- Ces comprimés sont formidables, ne trouvez-vous pas, Monsieur le Marquis ?, interrogeait Madame Claire- En effet, ils le sont, reprenait le Noble en attrapant lui aussi fermement ma nouille érigée.
- Ils ont un double avantage, voir bander sans cesse vos deux salopes grâce à l’aphrodisiaque puissant qu’ils contiennent, mais aussi leur permettre de produire davantage de foutre grâce à la stimulation de la spermiogenèse. C’est ce qui nous intéresse aujourd’hui, si nous voulons que votre chienne Nala MDE soit pleine d’ici ce soir. Nous allons les faire forniquer encore et encore, jusqu’à ce que les couilles de vos deux salopes mâles soient totalement asséchées, qu’il n’y ait plus une goutte de jus qui sorte de leur chibre infâme. Croyez-moi, Mon Cher Edouard, ces deux putes mâles n’auront plus envie de se branler pendant quelques jours...
Les deux mains s’agrippant à mes génitaux venaient de se retirer. Walter m’ordonnait de me pencher en avant en écartant les jambes et en cambrant mon cul. Etrangement, le Majordome me massait le dos d’une manière très ...