Cul et chemise
Datte: 31/12/2023,
Catégories:
fh,
gros(ses),
grossexe,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
rencontre,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... sommeil : ça jouissait à tout va dans la chambre. Quand ce n’était pas l’un, c’était l’autre. Une heure déjà qu’ils roucoulaient à tour de rôle, infatigables, et dix que je me caressais juste le gland qu’une envie impensable me traversa l’esprit, tétanisant ma main.
Je l’avais déjà vu nu lorsque nous nous douchions après le sport, donc, une fois de plus ne changerait rien. Et même si je ne l’avais jamais aperçu en pleine érection, rien ne ressemble plus à une bite tendue qu’une autre, non ?
Était-ce la curiosité, la jalousie, ou simplement l’envie pour que je me lève ? Il me tardait de vérifier de visu si ce coït interminable en était vraiment un ou s’ils se jouaient simplement de moi. C’est donc nu qu’à pas de loup, et quitte à me faire surprendre que je pris le risque de devenir voyeur. La porte n’était pas grande ouverte, mais suffisamment pour que je puisse ajouter une image au son. Était-ce prémédité ou faisaient-ils toujours l’amour à la lueur de la lampe de chevet que j’hésitai quelques instants, dos collé au mur, à une enjambée seulement de cette ouverture. Après avoir écouté, analysé et tiré la conclusion qui m’apparut confirmer le doute en certitude, je fis le dernier pas.
Il est des pas plus capitaux que d’autres. Le premier de sa vie, bien que personne ne s’en souvienne vraiment, est sans contexte le plus important. Les suivants sont déjà moins… comment dire… extraordinaires. Mais celui que je fis je le reçus si fortement en pleine face que jamais je ne ...
... pourrai chasser de ma mémoire ce qu’il me dévoila !
Un seul mot me vint alors à l’esprit : monumental. Tant que je me suis pincé.
Du porno, j’en avais déjà regardé pourtant ! Et pas qu’un peu ! Et pas que du classique surtout ! Mais ce que je voyais se dérouler devant moi dépassait de loin ce qu’il m’avait été donné de visionner.
Comme deviné, ils étaient en soixante-neuf. Elle l’avalait jusqu’aux couilles, et même si j’en avais déjà vu plus d’une le faire en vidéo, la facilité avec laquelle elle maintenait la pose me troubla. Pas un hoquet, pas un filet de bave ne semblaient la contraindre à mettre un terme à cette totale fellation. Ce fut lorsqu’elle releva lentement la tête, sans quitter des lèvres ce qu’elle avait en bouche que la grandeur qu’elle parcourait me sembla sans fin.
Si jusqu’à cette nuit les seize centimètres de mes érections ne m’avaient jamais semblé ridicules, à mesure qu’elle remontait la tête, chaque centimètre luisant de salive rabaissait ma fierté d’être dans la moyenne à la longueur de ce qu’elle débouchait. Lorsque le gland de mon pote apparut enfin, j’en étais à me demander comment la bouche de cette femme, d’un petit mètre soixante, pouvait accueillir aussi aisément un tel engin. Un surnom collant à point nommé m’apparut alors : avaleuse de sabre. C’est à ce moment qu’elle me vit et qu’elle dit :
— Il tuo amico ci sta guardando.(Ton pote nous mate.)
En arrêt sur image, j’allais fuir lorsque Pat, sans quitter des lèvres ce que je ...