Cul et chemise
Datte: 31/12/2023,
Catégories:
fh,
gros(ses),
grossexe,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
rencontre,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... n’est pas un MMS visuellement expressif ! J’y réponds rarement, non que l’envie me manque, mais je sais que cette absence intensifiera plus encore nos retrouvailles.
Demain, on fêtera nos un an. Mon record de longévité et pourtant j’ai la ferme certitude que cette année passée n’était qu’une ébauche. Il nous reste tant de choses à construire et à vivre ensemble, malgré que je me dis souvent qu’on a déjà mangé la vie par tous les bouts. Et quand je dis par tous les bouts, c’est plus qu’une expression ! Moi qui pensais en connaître déjà pas mal sur le sexe, Mathilda m’apprend, jour après jour, que l’amour est un terrain de jeu incroyable. Tout est prétexte à se prouver notre amour. Et à le faire surtout !
Si au début je me laissais surtout surprendre, très rapidement j’ai pris mes marques. Tout a basculé un mardi soir.
Pat et moi on avait prévu de passer la soirée à jouer en réseau. C’était, pour nous deux, comme un besoin. Un besoin de se retrouver entre potes, comme avant. Mais c’était sans avoir pris en compte que nous n’étions plus célibataires et que nos deux compagnes n’étaient pas du même avis !
À l’heure dite, casque sur les oreilles, en visio on a commencé la partie. J’étais confortablement installé sur mon canapé, mon pote sur le sien, tous deux ravis de pouvoir passer une soirée entière à se défier. La partie était serrée. De toute évidence, il s’était réservé quelques créneaux rien qu’à lui afin de parfaire ses techniques de combats alors que moi je ...
... n’avais quasiment pas allumé ma console.
— Pause. Faut que j’aille pisser, me prévint-il en se levant.
— Hé ! Pas deux heures la pause, hein ?
— Promis. Pas plus de vingt minutes, me lança-t-il en rigolant.
Je l’ai vu courir jusqu’à disparaître de l’écran. Je savais pertinemment que l’urgence n’était pas d’aller pisser mais d’aller rejoindre Maria qui n’avait de cesse de l’appeler. Après avoir sagement poireauté plusieurs minutes, mon doute se confirma. Ce n’était plus un mais deux hurlements qui me perçaient les tympans. Nostalgique, mon sexe jusqu’alors bien sage s’est réveillé. Deux solutions s’offraient à moi : soit me branler en les écoutant, ce que je n’avais plus fait depuis presque un an, soit inviter celle qui avait remplacé cette pratique solitaire pour la laisser s’en charger.
— Mon cœur, l’appelai-je en prenant soin d’enfermer dans ma main le micro de mon casque.
— Pas la peine de hurler, j’suis là me répondit-elle calmement.
J’ignorais depuis combien temps elle me regardait, queue fièrement tendue à fixer l’écran, et pour dire vrai je m’en foutais royalement. Tout comme elle d’ailleurs qui, sans y être conviée, prit la chose en main. Si je la savais depuis toujours suceuse hors pair, bizarrement c’était la première fois qu’elle me masturbait. Alors j’ai fermé les yeux et concentré toute mon attention sur cette caresse. Bien que différente, cette branlette était tout aussi exquise que lorsqu’elle me bouffe la queue. Moins humide, certes, mais exécutée ...