Cul et chemise
Datte: 31/12/2023,
Catégories:
fh,
gros(ses),
grossexe,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
rencontre,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... Mathilda.
Maman a sans doute raté pas mal de choses en ce qui concerne mon éducation, mais la politesse et le savoir-vivre sont deux choses dont elle peut se vanter sans honte.
— Sa…lut, ai-je bafouillé.
Elle m’en a claqué deux. La première au creux de ma joue gauche m’a hérissé les poils. À la seconde, ma queue jusqu’alors sagement endormie s’étirait lentement. Était-ce que nos deux bouches soient si proches ou l’alcool que se furent de loin les deux plus douces et délicieuses bises jamais reçues de ma vie.
— Salut. Ça va ?
— Bien, et toi ? répondis-je machinalement.
— Super. Tu m’en sers un.
Jamais je n’ai été aussi transparent. Que les deux cousines discutent entre elles, rien de plus normal, mais que mon pote de toujours m’ignore à ce point ! Pourtant, même si je me sentais déjà exclu depuis sa relation avec Maria, je comprenais. L’admettais même, étant heureux pour lui. Pas jaloux, juste content qu’il ait trouvé celle qui le comble.
Le repas traînait en longueur. Ça papotait et se marrait plus que ça ne mangeait, et moi je commençais à piquer du nez, incapable de participer à leurs conversations. Pat, comme par miracle s’est enfin aperçue de mon absence.
— On s’en fait une, mec ?
— Une quoi ? répondis-je paniqué qu’il me propose une partouze.
— Une partie de console.
— Ouais, pourquoi pas ?
Je m’en suis donné à cœur joie, trop content de retrouver mon pote. Les filles ont continué à bavarder entre elles, puis, lorsque Pat a réclamé une ...
... bière, elles nous ont rejoints sur le clic-clac. Si jusque-là je m’éclatais comme un fou, j’ai perdu toute envie de jouer sitôt qu’elles s’assirent. Maria s’installa à la gauche de Pat, et, n’ayant guère le choix Mathilda à ma droite, cuisse collée à la mienne. Elle était en leggings, mais aurait-elle été en jupe que je n’aurais pas plus ressenti la douceur de sa peau ! On a bu une gorgée, puis elles nous ont repris nos canettes des mains.
— Pas mal, lança Mathilda en regardant l’écran.
— Pas mal ! Tu rigoles ou quoi ! J’suis imbattable à ce jeu !
— Parce que t’es jamais tombé sur meilleur que toi.
Trois fois de suite, elle m’a foutu la misère. Elle m’a même appris des enchaînements. Pour autant, étrangement, je n’éprouvais aucune honte. D’autant qu’elle ne semblait pas en tirer la moindre gloire.
— Vache ! Qu’est-ce qu’il lui met le salaud !
— Hein !
— Ton pote. T’es sourd ou quoi ?
— C’est clair, j’ai pas fermé l’œil hier soir.
— Bon, j’vais doucher pendant que tu fais l’pieu.
— Le pieu ?
— Bah oui, on ne va pas passer la nuit à jouer à la console.
Cinq minutes. Il en a fallu cinq pour que mes oreilles transmettent ce qu’elles venaient d’entendre à mon cerveau, et moins de trois pour transformer le clic-clac en couchage. Ne sachant pas quoi faire de ma peau en attendant son retour, je me suis décapsulé une bière.
— J’en veux bien une aussi.
Me retournant pour lui donner, j’ai dû m’appuyer contre le plan de travail pour retrouver un semblant ...