1. Dans Les Alpes, Au Chalet (1/2)


    Datte: 31/12/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bydominic47, Source: Literotica

    ... ses doigts, rentrant, sortant, lustrant le rectum, forçant le conduit, étirant les muscles puissants du sphincter. Rien que pour cet instant, il la remercie de l'avoir insulté.
    
    D'ailleurs tout va très vite, Il se met à genou derrière la croupe de la grande, sa queue contre la rondelle, force, et force encore. La pression sur le rectum de sa belle-sœur est sévère mais le sphincter résiste, l'anus ne veut pas s'ouvrir. La grande crie, rue.
    
    « Ohhhhh! Ohh, nooooon!» proteste la grande en panique alors que la pression reste constante.
    
    « S'il te plait, Max! je le pensais pas » crie Marie Charlotte alors qu'elle se débat.
    
    La porte de son conduit est toujours fermée mais les murs de son passage cèdent peu à peu sous les poussées constantes. Cela ne va pas pour autant assez vite au gout de Max. Son plaisir lui voile toute retenue aussi il gifle fortement la fesse droite de la grande, pour détourner son attention et, l'instant suivant, son gland passe la barrière de l'anus. Il ne va pas très loin mais il est rentré. Le gland, en buté contre la corolle, est comme aspiré et disparaît dans la rondelle distendue. Heureux, il marque un arrêt, trop content de pénétrer dans le canal étroit. C'est un premier pas sur la route du plaisir.
    
    Par contre, ce n'est pas la même chose pour sa belle sœur
    
    « Aaaarrrrrrrgggggghhhh!" hurle Marie Charlotte, son anus dilaté.
    
    « Je suis sûr que tu vas finir par aimer, ma chère! je te prends par le cul et tu ne peux de toute façon rien y ...
    ... faire! n'est-ce pas! » Dit-il en donnant de petits coups secs
    
    "Mmmaaaaarrrrrggh," crie la grande.
    
    Le sphincter maintenant ouvert, le mafflu dans le canal étroit, les défenses sont réduites. Max ne peut que progresser. Pour étirer le trou du cul, il n'a de ressources que pousser par a coup, et c'est ce qu'il fait. Pendant une minute, à intervalle régulier il donne des coups de rein, sec. La grande crie à chaque fois comme un cochon que l'on égorge. Max ne s'en préoccupe pas. Lorsque son mandrin est enterré pour moitié, il peut alors commencer l'alésage du conduit.
    
    Cependant pour se faire, toujours emmanché et vigilant pour le rester, il délie les bras de la grande et la tourne pour qu'elle soit complétement sur le tapis. Max lui appuie alors sur le cou et l'oblige à poser sa tête sur le la peau de mouton, les mains à plat, allongée.
    
    « Plus haut ton cul! » aboie Max.
    
    Il est subjugué par la magnifique poitrine dont les tétons touchent le tapis, bave devant cette croupe charnue, exulte face à cet œillet distendu. Et que dire des effluves qui lui montent à la tête.
    
    Aussi il pose ses mains bien à plat sur chaque fesse, les écarte au maximum et réitère son mouvement de piston. Il ne va pas encore très loin, mais l'entrée se détend un peu. Conscient qu'il pourrait progresser plus vite en huilant davantage le rectum et le conduit, il se retire. La grande, souffle quand il s'extrait. Il pulse alors une giclée d'huile dans le rectum encore ouvert et enduit à nouveau ...
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