1. Le goût de la honte (1)


    Datte: 06/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: Le Québécois sensuel, Source: Xstory

    ... la porte du sous-sol, Gabriel me plaqua contre cette dernière et vint se coller à moi. Je fus certes surpris de son geste et ma peur s’accrut encore plus. Son corps était chaud, dur, imposant. Il me regarda de haut en bas et sourit avant de me dire :
    
    — Je savais que tu étais une petite tapette.
    
    Je ne compris pas pourquoi il disait ça avant de voir mon érection bien moulée dans mon pantalon. J’avais tellement honte... Le sentiment de vulnérabilité et de peur qui m’habitait depuis le début de notre rencontre m’avait excité sans que je m’en rende compte. Je ne comprenais pas, je n’avais jamais été tant excité que cela par un homme. Il continua de me rabaisser :
    
    — Espèce de lopette minable, écoute-moi bien. Tu vas faire exactement ce que je dis, d’accord ?
    
    Je restai figé, ne sachant plus quoi faire, quoi dire, ou quoi penser. Il haussa son ton de voix :
    
    — J’ai dit, D’ACCORD ?
    
    — Euh oui bien sûr.
    
    — Tu vas m’appeler maître. Allez, reprends ta réponse petite conne.
    
    Il m’excitait de plus en plus, je ne savais pas ce qui se passait à l’intérieur de moi. Normalement, j’aurais refusé catégoriquement cette demande, mais son regard et sa main sur ma gorge me rendaient si vulnérable, je n’avais pas vraiment le choix.
    
    — Oui maître...
    
    — Bien. Maintenant, il faut que tu saches que quelque chose t’attend en bas. Mais avant d’y aller, il va falloir que tu te déshabilles au complet.
    
    — Au complet ?
    
    — Oui. Je veux que tu aies honte le plus possible ...
    ... chienne.
    
    J’étais complètement désemparé. J’essayai de lui résister en lui répondant que je n’étais pas à l’aise. Par son regard, je compris qu’il n’aima pas ma réponse. Sans que j’aille le temps de cligner mes yeux, il m’assena un coup de poing au nez. L’impact fut percutant, je tombai sur le sol comme un chiffon. Des larmes remplirent mes yeux, je voyais flou. Mon sang tombait sur le plancher à grandes gouttes. Gabriel me prit par la gorge et me releva.
    
    — Et maintenant es-tu plus à l’aise ?
    
    — Oui maître...
    
    En commençant par mon chandail, je me déshabillai. Il m’observait, impassible, les bras croisés. Lorsqu’il ne resta que mon boxer, il me les arracha et s’esclaffa de rire en voyant mon sexe.
    
    — Hahahahahaha ! Et ça, c’est bandé?!? Là, je comprends pourquoi cette salope avait une chatte aussi serrée ! Oh, mais ne t’en fais pas, j’ai remédié au problème, elle a maintenant une plotte digne d’une pute hahaha. Bon allez, allons avoir du fun un peu.
    
    Il prit mon bras, part en arrière et me fit descendre les marches. Mon nez continuait à saigner, mon pénis coulait de liquide pré-éjaculatoire. En descendant, j’entendais un bruit, que je n’étais pas capable d’identifier. C’était plaintif. De plus en plus que je descendais, la plainte augmentait en puissance et en fréquence. Lorsque je tournai le coin de l’escalier, je compris de quoi il s’agissait lorsque je vis la source des sons plaintifs. Mon Dieu. C’était Zoé.
    
    Elle était dans une cage, nue, et recouverte d’éléments de ...