1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (16)


    Datte: 08/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... crois, tu peux monter ?
    
    — Oui je vais monter dans une minute ! S’exaspéra-t-elle.
    
    — Merde. Dis-je en berçant mes doigts en elle pour les extirper délicatement.
    
    — Oh ils me font chier ! Je le savais avec Jules ! S’emporta-t-elle frustrée de renoncer à une extase promise depuis de longues semaines.
    
    — Il faut que tu montes ma Véro. En lui léchant les lèvres de son ouverture.
    
    — J’en ai tellement envie… En restant allongée et en ondulant son bassin pour m’exciter.
    
    — Cette fois on prend des risques Véronique. En laissant glisser ma langue dans son somptueux canal.
    
    — Oh putain que c’est bon ! S’exclama-t-elle avec des mots que je ne lui connaissais pas.
    
    — Oui c’est exquis. En noyant ma langue dans la fièvre de son bas ventre.
    
    — Patrick ! Patrick… Soupira-t-elle quand je débutais des mouvements dans son vagin aussi langoureux que mes caresses sur ses nichons en alerte.
    
    — Attends ! Murmurai-je en stoppant net.
    
    — Hein… Dit-elle en se redressant.
    
    — J’entends des bruits dans l’escalier… !!
    
    Je ramassais mes affaires pour filer en trombe dans ma chambre. Ma tante n’eut que le temps d’enfiler sa robe de chambre, quand je distinguai la petite voix aiguë d’Oscar s’adressant à sa mère.
    
    — Tu ne viens pas Maman ?
    
    — Mais que fais-tu là Oscar ? Avec un ton étonné.
    
    — Bah maman comme tu ne venais pas je suis descendu.
    
    — Allez je monte avec toi.
    
    — Pourquoi tu transpires ? Tu as de la fièvre ?
    
    — Euh non… Je donnais un petit coup de ménage. ...
    ... Dit-elle avec une voix mal assurée.
    
    — A cette heure ?
    
    — Oui monte ! Dit-elle fermement.
    
    — Mais tu es malade ?
    
    — Pas du tout ! Allez on va voir ton petit frère.
    
    J’imaginais l’embarras dans lequel se retrouvait ma tante et j’attendais en vain dans ma chambre, mais les pas sourds du premier étage se firent incessants. La chasse d’eau des wc s’activait sans cesse et j’en déduisis que Jules était victime d’une vilaine crise de foie. Avec regret je faisais une croix sur une future étreinte, la précédente ayant avorté. J’avais le plafond comme unique compagnon pour m’accompagner dans mon sommeil. Frustrant.
    
    Au petit matin, Oscar m’expliqua sous les yeux attentifs de sa mère la situation. Jules avait passé une nuit blanche et restait couché. Puis il avala son petit déjeuner en trombe pour regarder la télé en haut avec la permission de sa mère. Véronique n’était pas maquillée et sans le savoir elle avait oublié de boutonner sa chemise de nuit avec sa robe de chambre de couleur bleu ciel mal serrée. Elle était foutrement aguichante sans s’en apercevoir avec la naissance de ses seins en sommeil, une vraie bombe sexuelle matinale.
    
    — Hier on a frisé la cata ! Murmura-t-elle en touillant son café.
    
    — Je t’avais dit que c’était risqué ! Si tu m’avais écouté Véro…
    
    — Ah parce que c’est de ma faute maintenant ! On était deux et tu n’as pas dit non et puis zut ! S’insurgea-t-elle en prenant une grande gorgée de son bol.
    
    — T’es qu’une obsédée… En la fixant du regard.
    
    — ...
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