1. Histoires de jeunesses (III)


    Datte: 30/12/2023, Catégories: Première fois Auteur: Beedoo, Source: Hds

    ... tout proche et plus romantique que la salle commune ! Nous nous sommes donc assis et avons discuté. J'en suis venue à parler de ma séparation récente, lui de son néant affectif depuiis quelques années, bref nous compatissions.
    
    À un moment, j'ai voulu prendre l'air.
    
    Il m'a évidemment accompagnée.
    
    Nous nous sommes assis au bord de l'étang. Les deux tourtereaux étaient plus loin, allongés sur l'herbe au bord de l'étang. Mais je n'ai fait que les apercevoir.
    
    Je n'avais d'yeux que pour lui.
    
    Il m'a pris la main, nous poursuivions la discussion et son contact me faisait un bien immense.
    
    À un moment, je ne sais plus exactement dans quel contexte, j'en suis arrivée à lui dire pêle-même que j'étais pucelle, c'est bien ce mot que j'ai employé, et que j'avais moi aussi pris une boite de capotes dans l'après-midi.
    
    Il m'a embrassée.
    
    J'en ai profité.
    
    Il m'a proposé de m'accompagner à ma tente pour aller chercher les préservatifs. J'ai accepté.
    
    La boite de capote neuve, encore sous blister, en main, je me suis laissée emmener à son mobil-home, dans lequel il était seul. Mon short en jean a vite glissé, mon maillot de bain jaune a vu ses bretelles descendre et je me suis trouvée devant lui nue ouvrant le blister de la boite.
    
    Il m'a saisi la boite, a descendu sa braguette et son short, baissé son slip de bain, et sur sa bite tendue il a glissé le préservatif qu'il venait de sortir de son emballage. Il m'a alors allongée et m'a prise en missionaire. ...
    ... Tout doucement d'abord, j'ai senti une légère résistance. Pios, comme je mouillais vite, il a pu prendre un rythme plus soutenu : il me baisait bien. Je me trouvais vite à haleter de nos copulations. Il s'en encourageait et reprenait de plus belle.
    
    À un moment, il s'est retiré, me provoquant une sensation de vide que j'allais vouloir vite combler... Il m'a invitée, m'aidant largement, à me retourner. Me suggérant de me mettre sur les genoux et mes mains. À quatre pates quoi. J'ai obtempéré. Il m'a chuchoté "et maintenant, la levrette, Gaëlle !". J'ai commencé par sortir un "Heiiiin" qui sonnait bon la luxure. Il a alors pris ses aises, m'envoyant des coups par derrière, me fessant à l'occasion. Je soufflais, je gémissais, je tremblais ! Un violent spasme m'a saisie, il a ressenti la secousse et m'a dit "Oh tu as joui !". En effet je sentais une onde de bonheur lascif m'envahir et me submerger d'un coup.
    
    Il a alors sorti sa bite de mon con, et j'ai senti quelques secondes après des gouttes au bas de mon dos. Il m'avait giclé dessus. Et j'aimais ça !
    
    Il m'a proposé de rester. J'ai décliné, je devais retourner à la tente. Je suis repartie. En quittant son mobilhome je me suis dit à moi-même que je sortais telle une professionnelle après un travail bien fait, ça m'a fait rougir..."
    
    Pierre commente par un "Eh bien...". Alors, Marc prend la parole. Et propose que la suivante à raconter son histoire sera Pascal.
    
    Celui-ci, gêné, ne sait pas comment commencer... 
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