Dans Le Bus Ch. 05
Datte: 29/12/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
Traduction d'un texte de creativeboyinspring
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- Bonjour, je m'appelle Yesnia! Dis-je à l'étranger assis à côté de moi dans le bus.
Et c'est tout ce que je lui dis. Quand je prends le bus, je suis... tendue. Même si ce n'est pas un bus scolaire, mais plutôt un bus de transport public, j'ai toujours des émotions qui remontent.
Je ne raconterai pas de nouveau ce qui s'est passé, mais j'ai fini par devenir l'esclave sexuelle d'un campement de sans-abris. Oui vous avez bien lu, moi, la fille super intelligente, était une esclave sexuelle pour tous les SDF. La première de l'université qui pouvait obtenir n'importe quelle bourse pour n'importe quelles études était une esclave sexuelle consentante. Tous les hommes pouvaient faire ce qu'ils voulaient de moi.
C'est une longue histoire pour savoir comme j'en suis arrivée là. Mais pour faire court, ça s'est terminé par le fait que j'étais constamment attachée et baisée à plusieurs reprises chaque jour. Mais je le demandais. Je n'étais pas captive ou menacée, je le voulais.
Là-bas, je vivais d'un régime composé de restes de nourriture, d'un peu d'eau et de beaucoup d'alcool. Je n'entrerais pas dans les détails comme le fait qu'une fois par jour, on me détachait et je pouvais faire quelques pas dans le camp.
Il avait fallu trois semaines avant que la police ne me retrouve. Mes parents les avaient appelés le jour de ma disparition quand je n'étais pas rentré à la maison. A partir de là, ils ont retrouvé le groupe ...
... de gothiques qui m'avait kidnappé pour me faire monter dans un bus scolaire et pour me malmener à l'arrière pendant plusieurs heures.
Ensuite, la police a recherché autour de l'endroit où les gothiques ont dit m'avoir laissée attachée. Les forces de l'ordre ont passé alors au peigne fin les rues, les ruelles, les maisons abandonnées. Ils ne pensaient pas au début que je puisse être attachée comme esclave par des sans-abris.
Enfin bref, on m'a retrouvé. Les policiers ont fait une descente dans le camp et m'ont trouvée, ligotée et nue, avec une bouteille de bière enfoncée à mi-chemin dans mon sexe. Quand ils sont arrivés, c'est un sans-abri qui s'musait à me baiser ainsi. Je m'en souviens bien. C'était vraiment vicieux, mais si excitant. La police m'a détachée, recouverte d'une couverture et m'a emmenée.
Et j'ai fait une thérapie? Ou plutôt devrais-je dire, des tonnes de thérapie, des mois de thérapie. A mon retour à la maison, j'étais bien dérangée. Je sentais en moi que je voulais être abusée comme ils l'avaient fait, que je voulais être seulement un objet sexuel. Mis on m'a expliqué que non, ce n'est pas ce que je voulais. Je suis restée longtemps dans la confusion.
Je ne suis pas retournée à l'université pendant un semestre afin de régler mes problèmes et essayer de redevenir normale, ce que je pense avoir réussi. Je suis redevenue une jeune fille de 19 ans. Je ne pense pas agir différemment de ce que je faisais auparavant. Bien sûr, je me sens différente, mais ...