Trouble Obsessionnel
Datte: 28/12/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... voir, tu vas être très bien.
- Ne me touche pas! François avait fait un bon en arrière tandis qu'elle se rapprochait de lui.
- Je suis à toi François, tu peux me faire ce que tu veux. »
Ségolène était dans un état de transe, les yeux noyés de larmes le regardant. François était exaspéré, il avait besoin de tout sauf de Ségolène. Sans se contrôler et de rage, il se mit à la gifler, puis à la rouer de coups. Il voulait la faire crier, la faire fuir, que plus jamais elle ne revienne, qu'il ne l'ait jamais rencontrée. Au lieu de quoi, quelques minutes plus tard, il violait son cul profondément, et Ségolène criait, mais de jouissance. Il s'abattit sur elle après avoir jouit, épuisé. La violence avait exercé sur lui un effet érotique puissant. Surtout il avait été fasciné par l'offrande de ses coups, et l'apparition des marques sur son corps qu'elle ne protégeait pas. Cette femme le rendait fou.
*****
En se réveillant au matin, il crut avoir rêvé, le lit à côté de lui était vide. Pourtant son cauchemar rentra dans la chambre, portant un plateau de petit déjeuner digne du Ritz, avec une rose pour le décorer. Ségolène arborait un sourire rayonnant, malgré le cocard qui la défigurait. François n'eut pas le temps de masquer l'érection matinale qui déformait le lit :
« Je vois que Monsieur a encore des envies! Monsieur est insatiable.
- Ségolène, je suis désolé de ce qui s'est passé hier, cela n'aurait pas du arriver.
- Cela n'a pas d'importance, tu as le ...
... droit de tout me faire, et si tu as envie de me frapper, tu me frappes, je t'ai dit, que j'étais là pour cela.
- Ségolène! Je te parle de la suite, je regrette, j'aurais du te mettre dehors.
- Ne dis pas n'importe quoi. Ce n'est pas moi qui t'ai violé, mais toi qui en as eu l'envie, ne me dis pas le contraire. Quand est ce que tu accepteras de voir la réalité en face?
- C'était hier soir, mais ce matin je regrette.
- Et si moi je regrettais et j'allais porter plainte à la police?
- Comment cela? François était devenu blême.
- Tu me frappes, puis tu me violes, et au matin tu me dis de dégager, tu crois qu'ils vont en penser quoi au poste de police?
- Tu me menaces Ségolène! Tu es devenue folle.
- Mais non mon amour, je te montre juste comment la situation est aberrante. Si tu n'avais pas fait cela par amour, c'est alors toi qui serais fou à enfermer!
- Ségolène, Ségolène! La logique de son amie le rendait fou. Elle ne comprenait rien, ne voulait rien entendre. Mais qu'est ce qui lui avait pris hier soir!
- Tu m'obéis quoi que je te demande?
- Oui, je suis là pour cela.
- Ségolène, j'ai besoin de réfléchir, régler des détails, voir comment faire avec Isabelle. J'ai besoin de quelques jours. Retournes chez toi et reviens me voir dans une semaine ; d'accord, là nous pourrons voir les choses plus clairement, c'est si soudain! Il se demandait si elle se douterait de quelque chose, mais son grand sourire le rassura.
- Mon chéri, comme je suis ...