Mon homme blessé - Chapitre 2
Datte: 27/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: AnnaLitha, Source: Hds
... et diminue légèrement mon audition.
Je m agenouille alors sur le tapis, et patiente, me sentant ridicule mais surtout assoiffé de sentir ses mains jouer sur moi...
J'attends quelques minutes ainsi, tendu et quelque peu nerveux, tentant de distinguer des sons trahissant sa présence et ses activités.
J'entends un premier claquement de talon, une chaise qui racle le sol et ses pas, dans la cuisine.
Le robinet qui coule, un bruit de vaisselle.
Puis quelques pas qui se rapprochent.
La porte s ouvre, la voici qui entre dans le salon.
Elle marche autour de moi, plus près, puis s éloigne et reviens.
Quelques pauses et des sons inconnus.
Elle revient juste à quelques centimètres de moi, saisis mes bracelets aux poignets et les attachent entre eux, devant moi.
Je sens alors quelques gouttes d'un liquide chaud couler entre mes épaules. Je devine la cire d'une bougie.
Elle dispose de mon dos et du bas de mes reins, parsémant la cire deci delà. Se rapprochant parfois plus près de ma peau pour augmenter la chaleur.
J entends son souffle quelque peu court, je la sens m effleurer sans toutefois m apporter le contact réconfortant de sa peau.
Je joue le jeu, ne disant mot, gesticulant légèrement au contact surprenant de ce liquide brûlant s écrasant sur ma peau, excité par la scène, et devinant son amusement.
Mon dos est brûlant, et quelque peu figé, mes frémissements me font ressentir ce cocon fragile mais rigide dans lequel elle m a ...
... emprisonné.
Elle s arrête, et s éloigne, toujours sans un mot.
Je devine au son de ses mouvements qu elle cherche quelque chose dans son sac, et repars à la cuisine.
A quoi joue t elle... J ai envie de sa voix, de ses mains, de son regard, de voir son sourire espiègle...
Elle revient près de moi, colle ses jambes et ses pieds contre mes cuisses et mon cul rempli, elle porte des bas.
Ses mains saisissent mes épaules, elle se love contre moi, je sens ses seins frais que je devine nus, une matière plastique sur son ventre et ses cheveux contre la peau chaude de mon dos, elle m attire légèrement en arrière pour m embrasser tendrement dans le cou.
Elle se retire, et toujours en silence, me plaque alors quelque chose d humide et de glacial dans le dos. Je devine un glaçon, sentant maintenant de l eau gelée couler le long de mon flanc.
Elle joue du bout des doigts avec la glace, traçant des sillons, faisant fondre ses petits glaçons sur moi pour apaiser le feu de la cire, et la faire durcir davantage.
La morsure du froid est bien différente, pas moins saisissante, et presque anesthésiante.
S ensuit alors un contact nouveau, quelque chose de plus large qui racle au plus près ma peau endolorie.
Elle gratte légèrement, appuie fermement, poursuit l alternance des sensations pour retirer la cire.
Je devine une spatule, mais elle prononce ses premiers mots "C est un couteau, très aiguisé alors ne bouge pas" et je me concentre pour ne pas trop bouger et réguler ma ...