1. Mon vieux voisin.


    Datte: 26/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Laurencec, Source: Hds

    ... ne me laissait pas de marbre. D’humeur coquine, j’ai pensé pouvoir m'amuser un peu en l’allumant gentiment ! Un homme de 78 ans ne pouvait forcément pas aller bien loin malgré son air robuste. Certainement l’envie de me délecter de ce regard vicieux qui, au fond, me faisait un drôle d’effet. La jupe courte et moulante était peut-être un peu exagérée, j'en conviens. Nous avions rendez-vous en fin d'après-midi.
    
    Dès le matin, en me préparant, je pensais déjà au regard qu’il porterait sur mes fesses bien moulées dans cette petite jupe… Elle me moulait tellement que l'on apercevait la lisière de mes bas au travers du tissu. Plus la journée avançait, plus je piaffais d’impatience à l’idée de croiser ce regard de vice Lard. Sur la route, je prenais soin de remonter correctement mes bas et, comme si cela ne suffisait pas, j'ai cru bon d’ouvrir le premier bouton de mon chemisier blanc, offrant ainsi une jolie profondeur a mon décolleté. Décidément, parfois l’excitation vous fait faire de ces choses. Paul m'a accueillie avec courtoisie m’expliquant tout de suite qu'il avait fait le ménage pour le bien des photos. Je posai le dossier ouvert sur la table de la cuisine. Je me suis mise à lui relire les grandes lignes et là, déjà, je frissonnais ! Je relevai le visage ! Le bougre ne m’écoutait que très peu, aspiré par mon chemisier qui bâillait sous son nez ! Certes, j’aurais pu, j’aurais dû me redresser ! Les mains à plat de chaque côté du document, je baissais la tête, ignorant son ...
    ... regard fixe et sa bouche entrouverte. Il était complètement à l’arrêt sur ma poitrine. Dès lors, j’avais moi-même peine à expliquer clairement le contenu du dossier. Derrière mes franges, je regardais le bas de sa personne, oui, j'avoue que je me demandais si Paul bandait. En même temps, vous admettrez que la vision de cette salopette et des charentaises n’avait rien de bien glamour…
    
    J’ai repris mes esprits et poursuivi les explications de rigueur. Paul, loin d’être attentif, traînait les pieds sur place me proposant un jus d’orange frais. Acceptant, j’ai ainsi échappé à ce regard lubrique qui, pourtant, me donnait des frissons. Une fois de plus, nous avons échangé un peu sur des sujets banals jusqu’à ce que je propose, à mon tour, de terminer le dossier en réalisant quelques photos des diverses pièces afin de présenter au mieux sa maison à de potentiels clients. Nous avons commencé par la cuisine, là où nous nous trouvions, cherchant le meilleur angle de vue. Puis le séjour, orné de ses illustres meubles que l’on ne trouve que chez les antiquaires. C’est en arrivant dans la chambre à coucher que j'ai réalisé ! La porte était grande ouverte et, face à moi, une toute aussi vieille armoire que celle du séjour. Très ressemblante, mis à part que sur celle-ci trônait un immense miroir.
    
    L’image que me renvoyait la glace m'a littéralement mise en fusion ! Paul, un mètre derrière moi, se penchait sur le côté en me matant les fesses. Peut-être avait-il remarqué la vision de mes ...
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