COLLECTION SOUMISSION. Copines d’enfances (1/4)
Datte: 26/12/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
• Noémie, est-ce que j’y suis pour quelque chose si tu es toujours vierge.
• Oui, un peu à cause de ton berger allemand.
• Nous avions cinq ans, tu pousses un peu.
• Non, je sais que je ressemble à mes parents tous deux longilignes qui ont fait que je suis aussi plate qu’une limande et que mes fesses sont inexistantes.
• C’est vrai, j’ai de jolis seins et un cul à attirer les mains.
Certes, mon chien t’a labouré le visage quand nous étions petites, te laissant une grande cicatrice, mais je suis sûr que tu vas trouver chaussure à ton pied.
Nous avions une quinzaine d’années quand nous tenions ces propos.
Nos chattes commençaient à nous démanger et les garçons commençaient à tourner comme des chiens fous autour des chiennes en chaleur que nous allions devenir.
Il est vrai que Noémie était toujours seule, hors de ma présence.
Si j’avais voulu, j’aurais déjà perdu mon pucelage, mais je me trouvais un peu jeune.
Par compte mon amie semblait obnubilée par les sexes masculins, mais chaque fois elle se prenait des râteaux.
Nous avons atteint nos vingt ans toujours avec nos hymens entre nos jambes.
Je faisais des études supérieures pendant que Noémie commençait à aider ses parents aux cuisines et dans notre jardin.
Avec ses géniteurs, ils habitent la maison des gardes de notre domaine.
Père ayant de hautes fonctions, mère dans notre monde, dite une femme dite entretenue.
Le travail principal, des femmes comme elle, soit belle et ...
... tais-toi !
Elle m’élevait avec les mêmes concepts ayant été les siens.
Je voulais être indépendante même si notre castel m’était destiné au départ prévu de mes parents l’an prochain pour leur maison près de Bordeaux.
Père prenant sa retraite.
Mon destin professionnel est tout tracé, mes études terminées, je suis promise à la même carrière que père dans la haute fonction publique.
Il est vrai que le piston cela existe.
Un dernier point, lors d’une conversation avec père, il m’apprend qu’il a signé un accord avec les parents de Noémie, ils les suivent dans leur résidence bordelaise.
Concernant Noémie, elle continuera à être mon amie, malgré notre différence de classe.
Elle vivra dans la maison des gardes, mais deviendra mon employé de maison.
Père est en train de lui chercher un compagnon qui remplacera son père dans ses taches.
Je rencontre un jeune homme à qui j’offre mon pucelage, rien que de bien banal pour une jolie fille comme moi.
Dépucelage sans lendemain pour le sexe que j’ai trouvé, à partir de ce moment, je me tiens à ma règle, une queue, une soirée et après basta.
Dans le même temps, Noémi déjà sèche naturellement, dépérie, nous arrivons à quelques jours du départ de mes parents et des siens.
Je finis mes études avec succès, toutes mes partielles me placent en tête de notre groupe d’étudiants.
• Noémie, même si tu vas travailler pour moi, tu resteras mon amie à jamais.
Père, après de vaines recherches a décidé d’arrêter de te ...