Un résumé de la vie de Virginie (Partie 1)
Datte: 25/12/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds
... tout cela.
Plus tard, nous regardions les films ensemble et très vite nous fîmes l’amour avant que le film ne se termine. C’était le plus souvent chez elle, dans le canapé même où le soir même sa mère venait s’asseoir pour se reposer devant la télévision après sa journée de travail. Nous vivions ainsi pendant de longs mois nos premiers émois amoureux. La belle devenait plus belle au fur et à mesure que je l’aimais. Elle devenait femme et très vite les autres hommes s’en aperçurent.
Et c’est ainsi que Virginie fit la rencontre non espérée de Bruno, moniteur d’auto-école. Parce qu’il fallait bien pour elle et moi passer notre permis de conduire. Bruno était un homme doux, attentionné mais aussi un homme prudent, entreprenant, fort, beau, costaud. Très vite, il sut séduire ma belle qui ne résista pas à son charme. Et le philtre de Cupidon faisant son chemin, il sodomisa pour la première fois ma chérie qui était vierge de ce côté-là ; le tout se passait dans l’une des voitures-écoles de l’agence.
Virginie me confia peu après les faits, cette première relation extra-conjugale. Très vite, je lui pardonnai par amour pour elle ; puis je me rendis compte que la situation finalement m’excitait beaucoup. Savoir qu’un autre que moi pouvait disposer de ma femme était jouissif. Mais Nono finalement quitta rapidement l’agence. Il était venu là en remplacement d’un autre moniteur et ni Virginie ni moi n’eurent de ses nouvelles après ce temps-là.
Les mois passèrent. Quelques mois ...
... à peine ; et ce fut le temps où Virginie et moi venions régulièrement sur Paris pour une autre vie : la vie étudiante. Ma belle intégra une école dans le domaine de la communication, du commerce et de l’événementiel qui débouchait sur un diplôme de BTS. Moi, j’étais dans un autre quartier de la capitale, me consacrant pleinement à mes études. Le soir, nous nous retrouvions souvent pour prendre le train ensemble et rentrer respectivement à nos domiciles. Plus tard, nous emménagions ensemble rue du Midi à Vincennes mais pas encore en ce temps-là.
Dans ces années-là, et peut-être malgré elle, Virginie multiplia les rencontres. A mon grand dam premièrement. Il y avait tout d’abord cet homme bien plus vieux qu’elle, la cinquantaine, marié, deux enfants et chauffeur de bus. Virginie le rencontrait chaque soir qu’elle rentrait chez elle après le train car il était de l’un de ceux qui desserviraient la ligne de transport qui menait à sa maison, la maison de sa mère chez qui elle vivait encore.
L’homme était entreprenant, bien trop à mon goût. Dans le bus, l’homme draguait ouvertement ma belle qui ne se cachait pas de rire à ses blagues et de sourire admirablement à chaque flatterie. Les voyageurs ne disaient rien mais tout le monde voyait ce qu’il se passait. Un jour, je vis même l’homme sortir de chez elle alors que je m’apprêtais à la voir. C’était un dimanche matin. Il était 10 ou 11 heures. Ma belle était seule avec lui, chez elle. Quand je suis arrivé dans la maison, elle ...