1. Alice in Wonderlands? Ch. 03


    Datte: 22/12/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bycinolas, Source: Literotica

    ... tanière.
    
    J'ai une grosse envie d'affection ce soir. J'aurais aimé le sentir en moi, faire corps avec lui, maîtriser sa queue comme si elle m'appartenait, ressentir ses coups de reins, m'enivrer de ses caresses. À quoi que ! Ça, le cadenas ne l'empêche pas ! Alors qu'il se prélasse dans le canapé je prends mon équipement de cordée et part à l'assaut du mont Braquemard, célèbre pour sa vue imprenable, ses cols escarpés et son sommet haut perché.
    
    Je fais un peu de place pour planter mon campement de base devant le canapé, nettoie un peu la zone de tout pantalon ou caleçon freinant l'accès aux abords de la montagne et entreprends un premier repérage des lieux.
    
    Je suis seule dans cette expédition, mais compte bien la mener à bout avec brio. Ma récente expérience de ces sommets parfois enneigés me fait entrevoir toutes les possibilités qui s'offrent à moi pour attaquer mon ascension. L'approche par le flanc nord et le flanc sud est délicate, deux énormes monticules bouchent l'accès. La voie centrale me fait de l'œil, son col me semble dégagé.
    
    Alors je commence à planter mes premières marques et par quelques coups de lèvres bien placés fais très légèrement vibrer ce colosse qui me fait face. L'ascension n'est pas de tout repos, car la hampe longuement humidifiée par une bouche avide devient glissante et presque impraticable. Mais mes cordages sont bien fixés, je prends un peu d'élan et d'un cabri maîtrisé j'atteins le col pour y prendre pied. Le gland me nargue ...
    ... presque, me pensant fatiguée. Il ne connaît pas mes ressources et d'un savant coup de langue je l'englobe entre mes lèvres en feu pour le rendre aussi luisant que le reste de son édifice.
    
    Le sommet atteint, je ne m'attarde pas à planter mon drapeau. Je suce, tête, mordille, avale goulûment, enroule langoureusement d'une langue experte ce fier hercule qui m'a donné tant de mal. J'en profite, m'installe dans les lieux, musarde quelque peu sur les contours pour vérifier son assise, titille gourmande le frein lors d'une exploration poussée. Puis pour reprendre un peu de souffle, je redescends au campement et m'attaque à ces deux imposantes collines qui l'encadrent.
    
    Ma langue s'aventure sur leurs contours poilus, joue un peu avec la grosse boule les occupant, les englobe délicatement dans ma bouche pour les aspirer comme on gobe un œuf. Elles se couvrent de ma salive, brillent en certains points, frémissent en d'autres, les poils plaqués par cette humidité ambiante les rendent plus lisses et permet à ma langue de jouer avec leurs aspérités.
    
    Empruntant de nouveau le chemin des sommets qui est maintenant bien balisé, je retourne profiter des hauteurs. Je branle au passage délicatement la hampe, sans à-coup, sans excès, avec la dextérité et le doigté de mes mains averties.
    
    Alors que jusque-là j'avais su maîtriser mes envies pleinement conscientes des limites de mes capacités, je tente d'absorber ce magnifique gland et une importante partie de son édifice dans ma bouche avide de ...
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