1. Miroir mon beau miroir


    Datte: 21/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Patou bcbg mature, Source: Hds

    ... âme... Je veux te baiser jusqu’à en mourir.
    
    - Ohhhhhhh, Ouiiiiiiiii, je suis à toi..... Je t’aime !!!!!!!!!!!! Prends-moi...
    
    Jamais, de ma vie de femme mariée adultère, je n’avais pas prononcé ses mots. Je le voulais encore en moi. Mes jambes étaient faibles, mon corps m’avait abandonné, mais pire encore, tout mon esprit était à lui. Je tendis la main vers la sienne qu’il avait saisie et mon cœur battait incroyablement, vite. Je jouissais, au travers un orgasme incontrôlable et permanent. Je pensais que c’était fini, qu’il allait jouir, mais il continuait telle une machine infatigable. Il avait pris le contrôle du moment où il allait jouir, mais je comprenais que c’était sous conditions.
    
    - Dis-moi encore que tu m’aimes, allez dis le.
    
    - Oui, je t’aime, je t’ai toujours aimé... Ohhhh MON DIEU Thierry tu me rends folle !!!!!
    
    - Ouiiiiiiiii je vais tout de donner !!!!!!!!!!!!!!!
    
    - Ohhhhhhh oui continue, prends moi mes grosses fesses de cochonne, traite moi comme une chienne
    
    - Oui, c’est ça, bouge moi ton gros cul de grosse vache, tu es ma soumise, tu es à moi.
    
    - ...
    ... Ouiiiiiiii je suis à toi !!!! Fais-moi tout ce que tu veux. Je suis ton jouet.
    
    - Mon garage à foutre
    
    - Hoooooooooooo !!!!!!!!!!
    
    Comment cet homme était-il encore capable d’une telle prestation physique ? Plus je lui parlais, plus il accélérait ses mouvements de bassin. Mon anus était rempli de son sexe, et je jouissais toujours plus. Combien de temps cela pouvait durer ? C’était une machine, un automate, un robot, qui me faisait jouir de manière permanente et récurrente. Il nous releva enfin, et se vida sur moi, recouvrant mon corps de sa semence blanche et chaude. J’en avais partout, sur les seins, les lèvres, les cheveux, il m’avait inondé. On s’écroula tous les deux sur le canapé, il était 21H, et cela, faisait plus de deux heures qu’il me faisait l’amour... À mon réveil, il était parti, mais je savais qu’il ne fuyait pas, je savais, qu’il fallait que maintenant tous les deux ensembles, nous puissions affronter nos vies, nos envies, nos codes, et cela, plus que jamais. Je savais aussi que ce serait affreux si quelqu’un le découvrait, mais nous nous aimions, et je ne pouvais pas l’ignorer. 
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