1. Recalée de Parcoursup (1)


    Datte: 06/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... lutter. Je freinais des quatre fers, je me sentis traînée par terre, et cela sans qu’ils ne versent la moindre goutte de sueur. Autour de moi, le couloir contenait d’autres cellules, sans doute avec d’autres étudiantes emprisonnées derrière. On monta les escaliers pour arriver au rez-de-chaussée, des étudiantes déambulaient dans le couloir, se rendant à leurs cours ou se contentant de papoter. Et moi, j’avançais nue et en laisse parmi eux, la plupart me regardaient avec des yeux écarquillés, on me montrait du doigt, on riait, mais personne ne me venait en aide. J’étais humiliée aux yeux de tous. Je criais dans mon gag « Au secours ! » peut-être ignoraient-ils qu’on me faisait parader ainsi contre ma volonté, mais il était impossible de me faire entendre. Je remarquais que les étudiantes avaient elles aussi des colliers, et qu’en fait il n’y avait presque que des étudiantes, aucun mâle à l’horizon... Après m’avoir tirée pendant dix minutes on arriva à une salle de cours, sur la porte était fixé un écriteau indiquant : « BDSM – cours débutant » on me fit entrer dans la salle alors qu’un cours avait déjà commencé.
    
    Le professeur expliquait quelque chose à propos de bougies, moi pendant ce temps j’étais installé sur le bureau, chacun de mes membres à un coin où des attaches étaient spécialement prévues pour me retenir prisonnière. Au-dessus de moi, le prof discourait :
    
    « Avec un cierge de type M, comme on en trouve en église, la durée moyenne de consomption est d’une ...
    ... heure. Si vous l’utilisez dans le cadre d’une pratique BDSM il faut diviser ce temps par trois, car plus vous penchez la bougie, plus la cire fondra rapidement. Et attention, si vous inclinez trop la bougie, à plus de 160° alors elle risque de s’éteindre. Maintenant, le plus important est dans le mouvement... »
    
    Pendant qu’il dissertait, je pouvais voir les étudiants et étudiantes prendre des notes comme s’il s’agissait d’un cours normal. Je rugissais sous mon gag... en vain.
    
    Le professeur prit la bougie et retira mon gag. Immédiatement, je braillais : « Relâchez-moi ! vous n’avez pas le droit de faire ça ! Je suis ici contre ma volonté ! »
    
    Le prof se pencha sur moi et répondit froidement : « Si tu parles encore une fois sans y être invitée, je te brûle la chatte avec cette bougie. »
    
    Il n’avait pas l’air de blaguer, je me taisais. Lui reprit son exposé :
    
    « Dans une pratique sado-maso, il est important de connaître les limites de votre partenaire. Cela peut se faire par des safewords, mais son usage doit rester exceptionnel, il est plus important de reconnaître les signaux verbaux et non-verbaux. Cela dévoile bien plus exactement l’état d’esprit de la soumise et permet de savoir ce qui plaît ou ne plaît pas. »
    
    Il se mit alors à verser de la cire de sa bougie allumée sur mon ventre, je criais : « Aaaiiee ! »
    
    « Vous entendez ce cri ? Ça, ce n’est pas un vrai cri de douleur. »
    
    Il se mit alors à verser la cire sur mes tétons, cette fois je hurlais : « ...
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