Une aventure mémorable
Datte: 18/12/2023,
Catégories:
hh,
hbi,
jeunes,
hépilé,
hotel,
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
hsodo,
québec,
Auteur: Uncut, Source: Revebebe
... queue va exploser !
Je lui envoie une photo de moi du nombril aux genoux que je garde dans un fichier secret.
— Mmm ! Tu es magnifique ! Toi aussi tu n’es pas circoncis, tu as vraiment un beau sexe… j’adore !
Je reçois un autre fichier de lui. J’ouvre et c’est une photo du bas du dos aux genoux. C’est à s’y méprendre, on aurait dit des fesses de femmes.
— Quand j’étais ado, et sans me vanter, j’avais un aussi beau cul que le tien ! Tu sais que tu vas me faire venir fou ? Je vais te bouffer tout rond !
— Mmmm ! J’espère bien !
Je me masturbe tout en lui échangeant des promesses que je vais lui faire subir. Je suis profondément excité et je veux que cela arrive à tout prix. J’ai éjaculé deux fois ce soir-là en clavardant avec lui ! Avant que je quitte l’ordinateur, il me dit qu’il sera difficile de le rejoindre durant la semaine, car il doit travailler et étudier.
Durant la semaine, chaque soir je regardais les photos de mon nouvel amant, enfin, peut-être, que je me disais. Je craignais qu’il me pose un lapin. Je lui avais dit que j’étais pour être dans un hôtel du centre-ville vers midi et que j’étais pour lui indiquer le numéro de ma chambre par courriel.
Je suis enfin arrivé à mon hôtel et je m’empresse de lui envoyer le numéro de ma chambre qui était une petite suite vraiment bien avec un grand lit. Je ne reçois pas de message, j’attends et je sens la frustration monter en moi« je me suis fait berner ! » Puis, le son que fait mon ordinateur quand je ...
... reçois un message retenti.« C’est lui ! » Eh non, c’était mon bureau.« Merde ! » Je reçois un autre message.
Je ne tiens plus en place, je marche, je fais les cent pas. J’ai le visage rouge, mon cœur palpite, je me regarde, je me peigne, j’enlève ma cravate, puis non, je la remets, ma queue prend la place dans mes culottes, je ne suis pas bandé, mais presque. Le temps me semble interminable, j’ouvre une des bouteilles de vin rouge, qui doit coûter une fortune, mais je m’en fous.
Après de longues minutes qui n’en finissaient plus, on frappe délicatement à la porte. J’ouvre et un jeune homme se tient là, avec un petit sourire qui montre des dents blanches et parfaitement disposées comme les publicités de dentifrices. Il doit mesurer 1,80 m comme moi, il porte un blouson de cuir, un chandail noir à col roulé et un jeans noir. Il a les épaules étroites, un visage mince, une chevelure noire bouclée, des yeux azurés habillés de longs cils, il a des pommettes saillantes qui lui servent de joues, un petit nez fin en trompette et des lèvres pulpeuses. Il me tend une main fine et étroite.
— Bonjour ! C’est moi ! Avec son accent à la française avec ce timbre de voix douce qui est à la fois masculin et féminin.
— Euh ! Bonjour ! Entre !
Je le fais passer devant moi et je referme la porte. Je remarque ses petites fesses rebondies dans son jeans serré. Il semble aussi mal à l’aise que moi. Je passe devant lui et je tape les côtés de mes cuisses en disant :
— Voilà ! C’est moi ...