1. Florence de Femme Mariée à Callgirl 04


    Datte: 18/12/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byEMILIEDAN, Source: Literotica

    ... plaisir de l'instant même s'il était parfois douloureux.
    
    Pendant ces instants, je n'ai jamais cessé de penser que c'était moi qui menais le jeu et qui en définitive dominais ces hommes.
    
    Alors promettez-moi de faire la même chose, et tout ira bien vous verrez.
    
    -- Je vous le promets.
    
    Les servantes nous invitaient à sortir des bulles relaxantes, pour nous étendre sur les tables de massage. Jamais je n'avais ressenti un tel bien-être.
    
    Allongée sur le ventre une servante me massait les pieds, elle remontait mes mollets, mes cuisses. Elle écartait mes fesses, l'huile tiède et parfumée s'étalait délicatement sur mon anus et pénétrait la fente des lèvres de mon minou.
    
    L'autre servante s'occupait de mon dos, de mes épaule, de ma nuque et, de façon magique me massait le cuir chevelu. Parfois elle saisissait des mini-fruits rafraichissants qu'elle glissait dans ma bouche.
    
    J'entendais Françoise qui, bénéficiant du même traitement, gémissait et marmonnait
    
    « Que c'est bon... Hum, un pur bonheur ».
    
    Je la regardais en souriant, je pensais qu'elle commençait à libérer son esprit pour ne vivre que l'instant présent.
    
    Après notre massage, nous avions l'impression de marcher sur un tapis de nuages. La pendule marquait bientôt 14h00.
    
    Les servantes nous invitaient à enfiler une longue robe tissée dans un voile totalement transparent. Un immense V à l'avant descendait jusqu'au nombril dévoilant la moitié de nos seins.
    
    À l'arrière, un V identique laissait ...
    ... notre dos et la naissance de notre raie culière.entièrement dénudés.
    
    Très serrée à la taille, la particularité du bas, en dessous des hanches, était d'être découpée en quatre pans.
    
    Le couturier permettait ainsi, aux hommes qui le désiraient, d'avoir accès à notre sexe ou à notre cul, sans nous contraindre à quitter ce voile.
    
    Comme pour notre tenue précédente, mon voile était bleu et celui de Françoise était rouge.
    
    Nous étions priées de remettre nos chaussures dont les talons aiguilles nous grandissaient de plus de dix centimètres.
    
    Une fois chaussées, nos mollets, nos cuisses se galbaient magnifiquement et nos fessiers se resserraient.
    
    Nos culs alors se bombaient de façons indécentes, et nos chutes de reins avaient de quoi affoler les hommes les plus timides.
    
    Les servantes nous avaient magnifiquement maquillées aux couleurs de nos robes provocantes.
    
    -- Françoise je crois que nous sommes prêtes pour servir ces messieurs.
    
    -- Oui je suis stressée.
    
    -- Restez calme et dans les moments difficiles, pensez à moi je serais avec vous. Et ne vivez que le plaisir que vous procurera votre corps. Il doit prendre le pas sur votre esprit et tout ira bien.
    
    -- Merci Florence.
    
    Ils nous restaient à présent une après-midi et une journée complète avant le retour de Marc et Sofiane.
    
    Mon imagination de la soumission que nous allions subir, étaient bien loin du réel ce que nous allions connaître cet après-midi et le jour suivant.
    
    Je vous raconterai. 
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