I - Liaisons dangereuses (23) - Histoires de Sexe

I - Liaisons dangereuses (23)

Jenny était déchaînée ce soir là, excitée qu’elle a été par le sort qu’elle a imposé à son employée ainsi que par son imagination qu’elle a fait carburer à plein tube quand elle s’est fait son propre scénario dans sa tête, me rêvant en train de pilonner la croupe de Shama avec brutalité. Elle a insisté pour que je lui raconte avec précision comment ça s’était passé, et il s’avère qu’elle n’est pas tombée si loin que ça de la réalité. Comme par jalousie, elle n’a pas voulu que je fasse autre chose que de l’enculer, encore et encore, finissant ce qui restait dans le tube de lubrifiant pour rendre le tout plus facile. Elle a mis mes nerfs à rude épreuve, m’obligeant à faire le maximum pour tenir le plus longtemps possible, elle en voulait toujours plus, ne me laissant du répit que lorsque je le lui imposais. Il m’a fallu énormément de motivation et de contrôle sur moi-même pour me pousser à ne pas jouir à maintes reprises en me retirant pour faire redescendre la pression. Si elle ne m’a pas laissé lui prendre le sexe, elle ne m’a pas empêché de le déguster, ce qui m’a permis de gagner un temps précieux.

Et quand elle me permit, enfin, de jouir, interdiction de le faire ailleurs qu’au plus profond de son cul. Bordel, ce fut une des éjaculations les plus intenses que j’ai jamais ressenti, c’est comme si mon sexe avait littéralement explosé en elle, j’étais en transe, mon corps tout entier était pris de tremblement incontrôlable et je me suis complètement écroulé sur Jenny, ...

... celle-ci ayant déjà joui au moins deux fois, une fois grâce à ma langue et une seconde quand elle me chevauchait, ma bite dans son cul et mon doigt agaçant son clito. Ce fut sans contexte une des baises les plus intenses que j’ai vécu, que ce soit avec Jenny ou avec n’importe quelle autre femme. Je suis reparti de chez elle épuisé et vidé, au propre comme au figuré, et je me suis étalé sur mon lit comme une loque en arrivant chez moi.

Le lendemain, de retour au travail, Jenny et moi savions parfaitement quel allait être notre fil rouge pour cette semaine : Shama et son plug anal. Cette dernière respecta les consignes et chaque jour, elle arriva habillée d’une jupe et sans sous-vêtements. Nous nous faisions un malin plaisir d’aller, à tour de rôle, vérifier que le jouet était bien en place, et ce, plusieurs fois par jour, lui caressant discrètement le cul en allant effleurer le plug du bout des doigts, ce qui ne manquait pas de la faire frémir à chaque fois. Mais le plus frappant était que ce petit jeu l’excitait au plus haut point tant on a pu constater que sa chatte était systématiquement humide. Elle avait beau se plaindre que le jouet était trop gros, qu’il l’incommodait, elle y prenait malgré tout un grand plaisir.

Au fur et à mesure que la semaine passait, Shama était de plus en plus à l’aise, marchant toujours plus facilement et s’habituant à nos visites inopinées, jusqu’à finir par arriver au vendredi à marcher et s’asseoir comme si de rien n’était, on l’a même ...