1. Une Passion Inattendue Ch. 09


    Datte: 16/12/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... sur l'oreiller. Elle est magnifique, nue, offerte. Son mont de vénus se découpe sur son ventre plat, comme un appel à l'amour. Je ne résiste pas, je caresse doucement son corps, elle grogne, elle s'offre. Je prends ses tétons entre mes dents, je serre un peu, arquant son joli corps. Je descends plus bas, j'ouvre ses jambes, distinguant à peine cette marque d'amour folle qu'elle a tatoué au creux de son intimité. Je lape son sexe qui s'ébroue, qui s'ouvre comme une fleur.
    
    Je me redresse mes genoux autour de sa tête ; je pose mon sexe sur sa bouche si tendre et si docile. Je suis assise sur ma nouvelle esclave et j'expérimente mon premier cuni lesbien. Et je regrette d'avoir attendu si longtemps! C'est quelque chose de divin, d'inouï, comme je n'aurais jamais imaginé. Si fort et si tendre, si juste aussi. Nul besoin de la guider, elle sait ce qu'elle doit faire de sa langue, de ses lèvres, de ses dents aussi. Je veux faire durer le plaisir mais c'est impossible, la jouissance est puissante, je crie, je m'effondre. Sans un mot pour ma poupée, je me rallonge, je me rendors, encore remplie d'excitation.
    
    Le soleil éclabousse la pièce. Je tâte le lit et découvre avec déception que Alice s'est déjà levée. Cela me contrarie. Pas longtemps, elle est certes levée mais à genoux du côté où je dors, les cuisses bien écartées, la tête baissée, à attendre que je me réveille. La pulsion d'adrénaline est intense. Elle est magnifique, ses seins ronds sont les plus beaux de la terre. ...
    ... Son sexe à peine visible, bien caché, comme une jeune fille pudique à déflorer. Ses cuisses bien musclées, très écartées en offrande. Elle sait déjà tout de ce que doit être une esclave. Je la fais approcher, je lui demande de s'offrir. Je mets ses cheveux derrière ses oreilles, je la gifle. Fort. Très fort.
    
    Elle est surprise, perd son équilibre, me regarde inquiète de m'avoir déplue. A mon sourire elle se rassure, offre son visage aux prochaines gifles qui pleuvent, fort, chauffant ses joues, la faisant pleurer sans qu'elle ne quitte mon regard. Cela dure, je veux la briser à cet instant. Enfin elle explose en sanglots et se jette contre moi, implorant sa Maîtresse de la prendre encore et encore et de faire d'elle la putain qu'elle voudra. Ses sanglots sont déchirants, je la prends dans les bras, je la calme, je la câline, je lui dis les plus beaux mots d'amour que mon cœur ne pourra plus jamais dire car il n'y aura jamais qu'elle dans ce dernier. Son sourire, au milieu de son visage ravagé de larmes et de gifles est magnifique. J'écarte les jambes, sans un mot elle comprend parfaitement et se positionne que je puisse me soulager sans sortir du lit. Je contrôle le flot, mais elle boit à toute vitesse sans en perdre une goutte. C'est fort de sentir la remplir ainsi. Je l'embrasse longuement malgré l'odeur nauséabonde de sa bouche. Il est temps de se lever, nous avons une journée chargée.
    
    Nous avons une heure avant le rendez-vous que j'ai réussi à prendre (à forcer je ...
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