1. Hard Switch


    Datte: 15/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... accrochée à mes couilles qui n'en pouvaient plus de douleur. Je me retirai pour lui obéir, et lui ordonna alors de venir lécher mon sexe sale de son cul, ce qu'elle fit, la tête basse. Je la giflais pour lui donner de la motivation, et elle m'avala entièrement. Je lui ordonnais alors de se faire jouir à nouveau, première d'une infinité de frustration à la voir jouir si profondément alors que j'en étais privé. Elle m'embrassa, son goût était acide, mais j'aimais cela, nous étions à peine rassasiés. Nous n'avions échangé que des ordres, pas un seul autre mot. Nous comprenions que chacun sera le Maître sadique de l'autre, et chacun devra se plier scrupuleusement aux ordres de l'autre, quels qu'ils soient.
    
    Ce fut une sensation folle pour l'un comme pour l'autre, que toute cette perversité qui s'exerçait réciproquement, cet échange de souffrances, de sévices, d'humiliations qui étaient sans limites. Il était plus de minuit dimanche soir, nous errions ivres de fatigue, n'ayant presque pas dormi, nous étant stimulés comme jamais, moi dans une excitation et un désir croissant qui me rendaient complètement dingue de Charlotte. J'aurais pu la dévorer, et je n'y manquais pas, ses seins portaient la marque de mes dents profondément enfoncées. Nous étions à Pigalle, il y avait encore beaucoup de monde. Sous sa jupe Charlotte portait un plug imposant qui ne facilitait pas sa marche. J'avais le même sous mon jeans, je n'avais pas même le droit de me plaindre ou de gémir, j'étais au ...
    ... paradis. Nous les avions achetés dans un des nombreux sex-shops et les avions enfilés ainsi à sec sous l'œil blasé et indifférent du vendeur, mais plus intéressés des quelques clients. Charlotte avait dû enlever sa jupe et se mettre nue pour se remplir, avant d'offrir la vision de son cul farci aux yeux avides qui la mataient.
    
    Nous poussâmes alors le porte de la vitrine, nous avions appelé et étions attendus. C'était une évidence pour nous, impossible de se séparer autrement après ce week-end. La tatoueuse elle aussi en avait vu d'autre, même si nous dépassions largement son entendement. Nue, les jambes relevées, Charlotte lui présentait son pubis sur lequel elle inscrivit en lettres rouges mes initiales entrelacées. Cela fut vite fait, non sans douleur, mais dans une communion totale. Ce fut ensuite mon tour, et avec bonheur je souffrais de l'aiguille me déchirant pour inscrire à jamais que j'appartenais à Charlotte. Enfin rassasiés, un peu impressionnés quand même par notre dernier geste, nous sommes rentrés en marchant, nous délectant des mouvements du plug dans nos culs déjà si meurtris.
    
    La folie n'a fait que croître, la passion également, et notre dépendance si forte. Par pur masochisme nous ne nous sommes pas installés ensemble et avons limités nos contacts à nos week-ends. Par raison aussi, comment aurions-nous survécu? Ce jour-là, Charlotte avait décidé que je vivrai une expérience paroxystique et avait donc bloqué la journée pour me torturer. Je lui avais imposé, ...