Docteur Christiane et docteur Christine
Datte: 15/12/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
L'une est spécialiste ORL, l'autre généraliste. L'une a de longs cheveux colorés en blond, l'autre une tête frisée. L'une, sans être grosse, déploie ses rondeurs, l'autre est une petite femme tonique à petits seins et petites fesses. Toutes deux sont divorcées et dans la dernière partie de leur carrière, concentrées sur leur métier, sans attaches familiales. L'une s'appelle Christiane, l'autre Christine et leur proximité va bien au-delà de leurs prénoms. Elles sont amies, se voient régulièrement, se confient leurs secrets autant que leurs patients.
Mais pour ressemblantes qu'elles soient, leur vie comporte malgré tout quelques différences. Alors que Christiane n'a pas de liaison durable, Christine jouit de deux amants réguliers, un kiné et un infirmier, tous deux mariés mais ayant leurs entrées dans son lit ou sur le divan de son cabinet en fonction de leurs emplois du temps respectifs. Christine baise beaucoup et souvent, Christiane assez peu et même trop peu. C'est justement le sujet de leur conversation ce dimanche là, dans l'appartement de Christiane.
- Alors, tu en es où de tes amours ? lui demande Christine.
- Tu veux parler du visiteur médical ? Bof. Cela fait un moment que je ne l'ai pas vu. Je crois qu'il s'est lassé et moi aussi. De toute façon, c'était juste du sexe.
- Ben justement. C'est important à notre âge. Qu'est-ce que tu crois que je fais avec mes deux chevaliers servants ? Du sexe, rien que du sexe. Pour me faire péter les hormones. Sinon, ...
... c'est la grande sècheresse. Et c'est ça qui te guette si tu ne baises plus.
- Mais qui veux-tu qui baise une femme comme moi ? Regarde, j'ai prix dix kilos en dix ans. Alors que toi, tu as gardé ton corps de jeune fille. C'est pas juste.
- Tu rigoles ? Plein d'hommes aiment les femmes pulpeuses dans ton genre. Tiens, je vais te dire, j'envie tes nichons. Moi, je ne peux même pas faire de cravates de notaire, dit Christine en tapotant ses petits seins.
Les deux amies rient aux éclats.
- C'est vrai que quand je me regarde à poil dans la glace de ma salle de bains, je me dis que mes seins tiennent encore bien la route même s'ils tombent un peu. Mais je ne vais quand même pas mettre des décolletés au boulot, ou me mettre nue sous ma blouse...
- Et ton cul ? Tu as regardé ton cul ? Une vraie peinture du XVIIIè siècle. Tout pour rendre un homme heureux, enfin un vrai homme.
- Oui, pas comme mon visiteur médical. Il ne s'y intéressait pas, à mon cul. Je ne demandais pourtant que ça.
- Je vois ce que tu veux dire. Mes deux mecs adorent me sodomiser. Mon petit cul les inspire...
Les deux amies rient encore. Elles n'ont guère de secrets l'une pour l'autre.
- Mais bon, revenons à nos moutons, dit Christine. Il faut que tu t'envoies en l'air, c'est vital. Je peux t'aider si tu veux.
- Et comment veux-tu m'aider ? Tu vas me prêter un de tes amants ?
- Pourquoi pas ? Qu'est-ce que tu dirais d'un plan à quatre ?
- Un quoi ? Une partouze ?
- Le vilain mot. ...