Pas besoin de porte-jarretelles pour bien se faire baiser - Histoires de Sexe

Pas besoin de porte-jarretelles pour bien se faire baiser

... un fou.

"Regarde moi dans les yeux pendant que je te baise", ordonne Julien. Elle s'exécute, le regard intense, haletante. "Oh oui, putain ce que tu es bandante."

J'ai envie de me branler, mais c'est impossible, si je me touche, je jouis instantanément.

Au bout de quelques minutes, il saisit les jambes d'Aurélie et les prends sur ses épaules. J'adore cette position, surtout lorsqu'elle porte des bas, le toucher du nylon me rend dingue. Mais Julien n'a pas besoin de ça. Et là, je sais qu'Aurélie va décoller, cette position la fait jouir comme peu d'autres, et avec cette queue bien large en elle... Au bout de quelques aller-retour, cela ne manque pas.

"Oh oui ! Oh oui ! Oui !!! Oui !!!"

Ses belles mains fines s'accrochent au draps, son corps est traversé pas les spasmes d'une décharge de plaisir incroyable. Et comme lui continue, l'orgasme de ma belle ne semble plus finir. Après quelques secondes, elle se relâche et reprend ses esprits, ses jambes retombent.

"Montre moi comme je t'excite. Jouis sur mes seins", lance-t-elle, la voix prise entre l'épuisement et l'excitation.

Julien arrache alors sa capote, la jette à côté de lui ...

... et avance. Le voilà à genou au-dessus de ma femme allongé. Je le vois se branler vigoureusement.

"Oh oui, oh ca vi...ens !!!"

Sur la deuxième syllabe, il gicle une belle quantité de sperme qui s'écrase sur les seins et jusque dans le cou d'Aurélie. La deuxième, puis la troisième s'écrasent sur sa poitrine. Même si elle est toujours dans les nuages de son orgasme, je distingue sa satisfaction, et sa main glisse sur le sexe de son amant. Elle le branle tout doucement, juste un ou deux aller-retour, pour le plaisir de le voir se contracter, et lâcher quelques soupirs de satisfaction.

Je ne dis rien. Lui non plus. Après quelques instants de repos, Julien se rhabille, pendant qu'Aurélie s'essuie et se rhabille et également. Elle le raccompagne à la porte. Il ne me dit pas un mot. Quelques secondes plus tard, elle réapparaît dans la chambre.

"Alors, tu vois qu'il n'y a pas besoin de lingerie ? Moi je vais prendre une douche. Tu te branles si tu veux, mais ce soir tu ne me touches pas. Ca te servira de leçon."

Leçon retenue. Depuis, je n'ai plus demandé à Aurélie de porter quoi que ce soit. La lingerie, c'est seulement quand elle en a envie.