1. Episode 6 Des travaux un peu spéciaux


    Datte: 14/12/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lousouleil13, Source: Hds

    Par un bel après-midi d’été, je profite de la splendeur et de la chaleur du soleil pour inviter Françoise, ma désormais maitresse, à un bronzage intégral. Elle a accepté avec empressement cette invitation pour l'après-midi. Mon immense jardin ornée de diverses fleurs a un large carré de gazon propice à la détente. Situé derrière la maison, il est à l’abri des yeux indiscrets même si on peut voir l’extérieur à travers les fenêtres des chambres.
    
    Ce que Françoise ne sait pas, c'est que deux ouvriers-peintres refont depuis deux jours les tapisseries usées de ma chambre d'amis. Ils travaillent avec application et j'ai eu plusieurs occasions pour boire le café avec eux, sympathiser aussi.
    
    L’un est un black de 18a, athlétique, riant à la moindre occasion. Aujourd'hui il est vêtu d’une large salopette bleue dont les bretelles qui ne sont pas serrées laissent deviner son torse nu et glabre. L’autre est un arabe de 60 ans. Ce jour, il est habillé d’un short court blanc, quasi transparent, tant il est moulant et d’un large débardeur, genre marcel, avec de grandes échancrures sous les bras qui montrent un torse velu, des bras et des jambes recouverts de poils noirs.
    
    Je ne leur ai rien dit de la venue de mon amante. Ce sera pour eux une surprise. Et voici que j'entends arriver sa voiture. Elle s'arrête devant la maison, vient vers la porte alors que je vais vers elle. Et je la découvre, estivale. Vêtue d’une robe légère rouge à fine bretelle, ses jambes sont décorées de jolis ...
    ... bas noirs terminant sur des talons aiguilles noirs. Elle s’aperçoit de mon visage lumineux et en est d’autant plus radieuse. Je l’invite à entrer dans le séjour pour boire le café et lui présente les deux ouvriers. Elle fait leur connaissance. Ces derniers, en tenue de travail, restent debout dans le séjour, ne sachant pas trop quelle attitude prendre.
    
    Leurs yeux écarquillés en disent long sur leur pensée lubrique. Françoise au début étonnée de s’apercevoir que nous ne sommes pas seuls, sourit gentiment par la suite. Elle est assise sur une chaise, une jambe par-dessus l’autre. Dans cette attitude, les ouvriers matent ses cuisses qui se dévoilent bien haut, la robe étant remontée. Elle esquisse un rictus, et tout naturellement, elle les convie à se joindre à nous un instant pour boire un verre et se désaltérer. Les deux compères prennent avec plaisir une bière et s’assoient juste en face d’elle, comme par hasard. Ils la harcèlent de questions, signe de leur vif intérêt pour elle.
    
    Silencieux à ses côtés, j’observe leur attitude équivoque. Le black la fixe du regard, le plongeant sans indiscrétion dans son décolleté, un décolleté qui à plusieurs reprises s'ouvre sur une poitrine opulente lorsque Françoise se pense pour prendre ou poser son verre. Ses tétons durs se devinent sous me tissu fin. L’arabe tente une approche tactile en accompagnant ses plaisanteries de son bras autour du cou.
    
    Le temps s’égrenant, je claque des mains en lançant aux ouvriers qu’ils doivent ...
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