J'AI DERAILLÉ A PORNIC
Datte: 13/12/2023,
Catégories:
Première fois
Auteur: MG8895, Source: Hds
... s’est pas trompée en entrant dans cette salle de bain. Son père était parti en mer relever ses casiers. Il possédait un petit bateau et il s’adonnait à son plus grand plaisir, la pêche en mer. Divorcé lui aussi, nous avions lié d’amitié et nous nous étions soutenus dans les moments les plus difficiles.
Elle était là devant moi, elle me regardait bras et jambes croisés. J’étais nu comme un ver, mon sexe pendait misérablement, je n’ai pas cherché à le dissimuler.
-« Que veux-tu ma belle, lui lançai-je ?
- Rien, Je voyais son visage s’empourprer et son regard se dirigé vers mon entre jambe. Elle était en soutien gorge et petite culotte blanche en coton.
- Comment tu me trouves ?
- Très sexy et désirable, mais tu es la fille de mon ami et tu sais que ce n’est pas possible entre nous.
- Je veux que tu sois mon premier coup- Et pourquoi moi ?
- Et pourquoi pas, je te connais, tu seras doux, prévenant et surtout, tu ne t’attacheras pas.
J’étais déstabilisé par sa répartie, je ne m’y attendais pas. Je ne savais plus quoi ajouter, j’étais tiraillé par l’envie et le refus de céder à ses avances. Son père était en mer, nous étions seuls, nous avions du temps devant nous. Le fait de me faire brancher par une petite jeune me rendait fébrile. Le mâle en moi prenait le dessus, mon subconscient voulait passer outre à la morale. C’est bien connu, l’homme est guidé par ce qui est en dessous de la ceinture. Comment cette histoire allait se terminer, quels événements ...
... vont en découler ?
La dopamine que j’avais accumulée au cours de mon footing me grisait et me rendait vulnérable. Je voyais ce beau corps longiligne, ses longs cheveux châtains clairs défaits et reposant sur ses épaules, ses yeux noisette et en amande qui m’imploraient. Cette bouche légèrement entrouverte et sa petite langue rose, humidifiant délicatement et maladroitement sa lèvre supérieure. Son sourire délicat et provocateur à la fois. Ses petits seins naissants enveloppés dans les balconnets transparents de son sous-tiffe, la galvanisaient et la vue de sa petite culotte qui dessinait sa fente, m’irradiait le ventre.
Je n’en pouvais plus, elle l’a compris, c’est elle qui a pris les devants. Elle s’est approchée de moi, j’ai senti aussitôt le souffle de ses paroles me susurrant à l’oreille : -« Fais moi l’amour ou baise moi, je te laisse le choix… !
A ses mots, mon sang se figea, ma gorge se serra, mes jambes se dérobaient. Elle était contre moi, la chaleur de son corps chauffait le mien, nos épidermes fleuretaient, son parfum léger, sa tête sur mon épaule, ses mains me caressaient le dos, soudain elle se lova, me serra dans ses bras, si fort, que je ne pouvais plus m’échapper. Mon pubis vibrait, à mon tour je me suis plaqué à elle, sa respiration s’était accélérée, ses seins s’écrasaient contre ma poitrine, je ne pouvais plus reculer, j’avais atteint le point de non retour. Je la voulais, je voulais être en elle, je voulais l’entendre gémir, souffler, geindre, crier ...