Réveil de désir
Datte: 13/12/2023,
Catégories:
fh,
vacances,
plage,
amour,
Oral
fsodo,
nostalgie,
amouroman,
couple,
Auteur: Anaclem, Source: Revebebe
Une maison sur la colline, face à la mer. La pleine lune éclaire la terrasse et l’intérieur de la salle principale… Vaste, meublée très simplement, mais avec goût. Sur la terrasse, deux fauteuils côte à côte. La vue est imprenable, tous les soirs, avant de dormir, ils savourent leur chance d’être ici.
Il est là, à ses côtés, immobile, et regarde le reflet de la lune sur la mer. Pour lui, elle a tout quitté, sa famille, ses amis, son pays et son amour de jeunesse. Sans regret jusqu’à ce jour.
Cet amour de jeunesse qui l’avait fait vibrer, qui lui avait fait ressentir toutes les parties de son corps d’adolescente, qui lui avait fait aimer le sexe. Sexe d’homme dans sa bouche, son con ou son anus. Elle se souvient de sa première sodomie comme si c’était hier. Sur la place du village, où ils se retrouvaient après le lycée, il l’avait regardée dans les yeux et lui avait dit qu’il voulait connaître toutes ses parties intimes. Elle avait ri, disant qu’il les connaissait déjà, il l’avait alors fixée plus intensément en disant qu’il lui manquait un orifice. D’abord, elle n’avait pas compris puis elle imagina son sexe farfouillant autour de son anus et elle s’excita sur place.
Elle l’entraîna chez elle, le guida vers sa chambre, se déshabilla. Elle était déjà toute mouillée lorsqu’il l’allongea sur le lit. Il commença par la caresser, mais elle le stoppa net tout en dirigeant ses doigts vers son vagin et son anus. Il fit jouer ses doigts de l’un à l’autre puis la retourna sur ...
... le ventre et la pénétra. Il n’avait pas eu besoin de lubrifiant… Sa bite rentra dans son cul aussi facilement que dans son con. Elle n’avait pas eu mal et que sa bite ressorte marron ne la dérangeait pas plus que ça. Elle avait aimé, mais se sentit sale. Plus tard, elle prit peur de cette relation basée essentiellement sur le plaisir, sur des limites sans cesse repoussées, elle rompit.
Puis, au détour d’un voyage, elle rencontra l’homme qui devint son mari, celui-là même qui est là, à ses côtés. Tout avait été facile, ils s’étaient regardés, ils s’étaient plu et ne se sont plus quittés.
Il sent sa présence, il n’a pas besoin de la regarder pour savoir qu’elle est immobile, avec ce regard lointain et rêveur qu’il lui a toujours connu, un regard qu’il n’a jamais pu pénétrer et, par conséquent, il ignore qu’elle ne veut qu’une chose : se pencher sur lui pour prendre son sexe, l’aspirer, le sentir tout entier dans sa bouche. Le sexe n’avait jamais été un besoin vital pour lui. Il lui faisait l’amour, car il la sentait chaude, désireuse, il se pliait à sa volonté plus qu’à ses propres besoins ; la seule fois où elle avait réussi à le sortir du lit, c’était ici, dans cette maison.
Ils revenaient de la plage et avant de rentrer dans la maison, ils étaient allés se rincer sous la douche extérieure. D’abord elle, puis lui. Elle l’avait alors regardé, pudique, se tournant vers le mur pour ne pas que les voisins voient, éventuellement, son sexe ballant.
Elle l’avait enlacé, ...