1. Farniente & Épilogue


    Datte: 11/12/2023, Catégories: ffh, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Transexuels double, attache, yeuxbandés, Auteur: Mirabel, Source: Revebebe

    ... short et un polo ? Pour la raquette, pas de souci, tu auras le choix.
    — Pour ma paluche ?
    — Oui, oui ! J’ai confisqué les anciennes raquettes de mon ex, puisqu’il se les était offertes avec ma carte bancaire ! Tu ne seras pas déçu.
    — Alors, c’est OK pour moi. Je m’habille…
    — Ben oui, il vaut mieux ! J’y vais aussi.
    
    Quelques instants plus tard, elle apparaît en tenue, superbe comme d’habitude : polo rouge satiné à parements blancs, petite jupette blanche plissée, chaussures blanches à bandes rouges, elle est magnifique. Rien à voir avec les tenniswomen d’aujourd’hui. Moi, esprit pervers comme souvent, je me demande ce qu’elle porte sous sa jupette… Nous rejoignons le court.
    
    Elle me donne à choisir entre trois raquettes, dont chacune vaut une fortune : cadre carbone, boyau haut de gamme, le rêve pour moi ; je vais me régaler !
    
    Premières balles d’échauffement, première surprise : elle est gauchère et possède un superbe revers à une main.
    
    Deuxième surprise : elle joue avec une grande fluidité, peu de bruit, donc des balles parfaitement centrées. Techniquement, c’est du très haut niveau. Je commence à me poser des questions…
    
    Troisième surprise, elle a un toucher de balle qui lui permet, sans frapper très fort, de déposer ses balles où elle veut. Je sens que je vais en baver…
    
    Anola vient de nous rejoindre :
    
    — Je vous cherchais. Sophie lui répond :
    — Si tu veux bien, grimpe sur le perchoir, tu compteras les points… On va juste faire un petit set.
    
    Sophie ...
    ... a servi en premier. Moi, gros naze, j’attendais ce moment du service pour essayer de voir ce qu’elle portait sous sa jupette. J’ai vu un petit slip rouge, en dentelle transparente qui n’avait rien de sage, mais je n’ai pas vu la balle passer !
    
    — Ben alors, tu dors ?
    
    Deuxième service : cette fois, j’ai bien regardé la balle, passer à un bon mètre du bout de ma raquette ! Ma punition commençait. Elle m’a tout fait : balles pleine ligne, contre-pieds monstrueux, amortis qui me ridiculisaient. Et Anola qui riait de plus en plus fort… À 3-0, j’ai vu rouge : j’ai été discourtois en utilisant toute ma puissance, ce que je ne fais jamais contre une femme. J’ai servi des boulets de canon, même sur les deuxièmes balles, pour finir par arracher péniblement un jeu. Sophie a été surprise quelques instants, mais a changé son jeu, en reculant derrière sa ligne, en me forçant à monter au filet, en me faisant courir avec ses passing-shots et ses lobs. Et elle m’a exécuté 6-1 ! Si j’avais pu me foutre dans un trou de souris, ou au moins la tête dans le sable… mais elle a eu l’élégance de ne pas se moquer :
    
    — Tu joues très bien, je suis contente de pouvoir jouer avec quelqu’un qui me renvoie la balle. Ton défaut n’est pas technique, mais balader cent kilos sur un court c’est crevant et te met en retard sur la balle. Si tu perdais une vingtaine de kilos, tu serais très performant.
    — Oui, bon. Tu essaies de me consoler, mais j’ai quand même pris une bonne déculottée. Quand je t’entends, ...
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