Mon fils amoureux de moi . (3) - Histoires de Sexe

Mon fils amoureux de moi . (3)

... jamais tu ne cesses de jouir !

Il pose sa main sur la mienne et l’accompagne dans mes mouvements de masturbation, j’ouvre les yeux, ils sont imbibés de larmes d’amour.

Marc les embrasse délicatement à tour de rôle.

— Maman, je t’aime, je t’aime !

— Moi aussi mon chéri !

Il écarte ma main et saisit entre ses doigts experts ma perle grosse comme une cerise, il la branle comme une petite bite sans brusquerie. Mes gémissements reprennent. Son autre main ne reste pas inactive, elle s’occupe de mes mamelons qui se dressent davantage à chaque pression dessus. Je ne tarde pas à jouir une nouvelle fois. Je me redresse, retire ma nuisette qui devient gênante, la bite de mon fils est tendue comme un arc, je la prends d’une main, j’approche ma bouche du gland et lèche le cèpe royal, ma langue en fait plusieurs fois le tour, je titille le frein et gobe les perles qui suintent de son méat

J’avale lentement la hampe veineuse le plus loin possible.

— Ouah maman, tu es un amour, oui suce-moi, fais-moi mourir !

Je reprends en bouche le gland et l’aspire fortement, la succion est telle que Marc se cabre.

— Maman, c’est trop bon, je vais jouir, arrête !

Au contraire, j’accentue la succion, Marc grogne et envoie sa semence épaisse dans le fond de ma gorge, il tire sur mes cheveux et me baise la bouche rageusement.

Il retire sa bite gluante et dit :

— Avale maman, avale, c’est la semence de ton enfant !

Je déglutis et avale le sperme au goût suave.

Il ...

... m’écarte les jambes, et plaque sa bouche sur ma vulve détrempée, il aspire tout sans qu’il ne s’en échappe, sa langue agile fouille le conduit de chair, il s’attarde sur mon bouton qui a encore augmenté de volume.

— Mon chéri, je vais jouir !

Il se redresse, et enfonce son pieu qui n’a pas encore débandé dans mon volcan qui ne va pas tarder à entrer en éruption. Ses coups de reins sont terribles, ses couilles frappent ma chatte à chaque pilonnage, je suis en transe, je m’accroche à lui, j’agite mon bassin, je pousse des râles inhumains. Je me raidis et hurle comme un animal pris au piège, je gicle abondamment sur ses bourses velues, je ne cesse de gicler, le lit est trempé. Mes râles rauques encouragent Marc qui me démonte comme une vulgaire putain (je dois avouer que j’aime ça). Il ressort entièrement sa bite de mon volcan, et le replonge à fond, je pousse un :

— AH ! de bonheur.

— Oui oui mon amour, défonce maman, fais-lui mal !

Marc se cabre, et remplit de son sperme abondant ma chatte insatiable.

— Oh, mon chéri, prends-moi par le cul oui par le cul, sodomise ta salope de maman qui ne peut plus se passer de ta queue !

Marc retire sa queue luisante de sperme et la plante à ma demande au plus profond de mes entrailles, mon anneau anal s’adapte bien au calibre de son mandrin. La défonce est totale, je jouis presque à chaque enfoncement de son pal. L’engin de chair coulisse aisément dans mon fondement, mes cris sont presque bestiaux, Marc s’acharne à me faire ...