LUCILLE et Ses Amants
Datte: 09/12/2023,
Catégories:
Première fois
Auteur: byAlainDexhe, Source: Literotica
... s'étaient posé sur sa bouche.
Elle se dit en une fraction de seconde qu'elle devait refuser. Elle ne bougea plus. Les lèvres caressaient sa bouche. Très délicatement, les lèvres allaient et venaient, provoquant un délicieux frisson d'une rare intensité.
Malgré elle, elle ne put s'empêcher de répondre à cette caresse. Leurs lèvres s'écrasèrent dans un mouvement voluptueux.
Elle sentit se mouiller abondamment sa féminité intime. Un liquide gluant inonda jusqu'aux grandes lèvres de son sexe.
La langue de son cavalier s'insinua audacieusement dans sa bouche. Elle lui trouva l'haleine agréable. Elle résista d'abord un peu. Mais sans conviction. Comme pour provoquer! Elle ouvrit sa bouche au vainqueur. Quelle révélation!
Elle avait rencontré son destin. Son vrai destin. Son destin amoureux. Elle lui sacrifiait son intelligence, sa stricte morale et sa volonté. L'accomplissement de ce quelque chose de beaucoup plus fort qu'elle, la surpassait désormais de très haut. Elle était dominée par une irrépressible possession de tout son être. Quel vertige! Conquérant impitoyable, l'Amour entrait en elle. Elle abandonna toute résistance...
Bouche grande ouverte, elle répondit vigoureusement d'une langue alerte à ce baiser enivrant et sauvagement voluptueux.
Elle n'en pouvait plus.
Les deux langues allaient, venaient, s'enlaçaient lubriquement, avec une impudicité totale. Leurs deux bouches étaient comme leurs deux êtres, en complète fusion. Il partit l'embrasser dans ...
... le cou, comme à la recherche d'autres trésors. Elle l'encourageait par de petits gémissements amoureux.
Ces gémissements devinrent des plaintes quand les mains du cavalier se mirent à fureter partout dans le dos de la danseuse. Il lui dit à l'oreille : « Laisse-moi faire, doux trésor!». Elle lui répondit en lui léchant amoureusement l'oreille. Puis, comme pour l'encourager à poursuivre sa déclaration amoureuse, elle se mit à lui sucer le lobe de l'oreille.
Il ajouta : « J'ai envie de t'embrasser, de te regarder toute nue, complètement à poil ». Elle serra plus fort ses bras autour de son cou. Les bouches se rejoignirent à nouveau. Le baiser fut plus brûlant encore. Ils ne dansaient plus. Plus vraiment. Il lui enfourna la jambe entre ses deux cuisses, lui faisant ainsi sentir sans aucune équivoque possible l'état provoquant de sa masculinité.
Elle récompensa cette ferveur amoureuse par un mouvement lascif des reins qui devint le plus torride des aveux. Il lui dit encore, d'une voix enrouée par un désir qui se faisait sauvage : « Je veux aller dans ta culotte pour sentir si tu mouilles... ». Elle le réduisit au silence par un long baiser.
Mais elle accentua le frottement de tout son corps. Et le feu qui les dévorait déjà décupla encore. Elle sentit le sexe de l'Inconnu gonfler et durcir. Elle le devina gigantesque. Et elle, la si sérieuse Lucille, habituellement si réservée, assuma au contraire pleinement cette démonstration de virilité. Les mouvements de son ventre ...