1. Obsédée


    Datte: 08/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... s'avilissait ainsi, et plus elle irradiait d'une foi incompréhensible pour tous.
    
    Une nuit, il l'installa les jambes écartées sur le fauteuil, étroitement ligotée, et entrepris de lui fermer le sexe avec du fil à suture. Ce n'était pas la première fois et elle adorait cette sensation, comme une négation de sa féminité. Le fil était plus épais, la sensation plus forte. Lorsque ses grandes lèvres furent bien positionnées, il la perça en 4 endroits, et inséra de fins cadenas en acier chirurgical. Ces cadenas se fermaient pas une vis, qu'il scella avec de la colle, elle ne pourrait donc plus les enlever, sauf à les couper. Il lui montra le résultat, qui était superbe, seul son urètre avait un peu de mou, elle ne pourrait pas même mettre de tampon pour ses règles. Il lui donna toutes les règles d'hygiène, lui interdisant une mauvaise cicatrisation. Marie était très fière de porter ainsi sa marque. Il inséra sur le cadenas supérieur une plaque de propriété. Ce n'était pourtant pas fini. Il prit un pistolet, et après avoir dessiné sur son pubis glabre, il la tatoua longuement. La douleur était faible mais irritante. Elle était très fébrile lorsque enfin il reposa son pistolet. Avec la glace, elle put découvrir deux très gros chiffres qui ornaient son pubis, un double zéro. Il lui dit que cela représentait ce qu'elle était, ainsi elle ne l'oublierait pas. Elle le remercia de cette humiliation, de toutes ces souffrances qu'il lui avait données ce soir-là. Elle n'était plus rien ...
    ... que souffrance. Il lui fallut plus de 3 mois pour cicatriser, mais elle lui obéit et aucune des 4 plaies ne s'infecta. Elle aimait se voir dans la glace, et prit même des photos de son sexe ainsi marqué et fermé qu'elle gardait toujours sur elle, comme de précieuses reliques. Elle était si fière.
    
    Et puis tout bascula. Elle se rappela du jour où les choses changèrent. Elle était sur le paillasson à attendre, comme elle en avait l'habitude, un samedi matin. Mais il n'ouvrit pas la porte, elle attendit plus de deux heures, subissant les injures, les menaces des autres voisins choqués de la voir ainsi. Mais elle ne bougeait pas, seul lui pouvait la faire bouger. Elle l'entendait de l'autre côté de la porte. Il n'était pas seul. Elle entendait les gémissements, le plaisir de l'autre, ses cris aussi parfois. Bien entendu, elle savait qu'un tel homme avait autant d'esclaves qu'il le désirait. Elle n'avait pas même l'idée d'être jalouse. Enfin la porte s'ouvrit, il la fit rentrer, l'autre était sous la douche, enfin elle était au chaud. Il ne lui laissa pas le temps de respirer. Enfonça au fond de sa gorge une poire d'angoisse, un bâillon qu'il gonfla à la limite de l'étouffement. Puis recouvrit sa tête de la cagoule en cuir qui lui masquait tout le visage et la vue, la serrant fortement à la base du cou. Il retourna ses bras dans le dos, faisant se rejoindre les coudes, cadenassant les poignets au collier de la cagoule. La position était très douloureuse, même si grâce à sa ...
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