Femme chaudasse, pour mari voyeur. - Histoires de Sexe

Femme chaudasse, pour mari voyeur.

Je pense que je vais me faire incendier, pour mes mots brutaux, mais appelons un chat, un chat, une bite, une bite.

Assise sur le bord de la table, Louise, se fait prendre sauvagement par son amant, Victor, sous les yeux de son mari Lucas. Le gredin, nu comme les deux amants, se masturbe énergiquement en encourageant le baiseur :

-Oui mon cochon, baise-la bien, fais la gueuler cette salope, oh putain, je vais jouir, oui, oui !

De longs jets visqueux sont expulsés de la bite de Lucas, qui grimace en gémissant à chaque décharge. Le sperme retombe sur son ventre, et sur ses doigts. Lucas comme un rituel, l'étale sur son abdomen en faisant des cercles avec sa main. Il enduit ses couilles avec le liquide poisseux, en les triturant sans les ménager. Puis reprend le branlage, tout cela sans quitter des yeux les deux amants. La bite gorgée de sang de Victor coulisse dans le ventre de Louise, en prévenant de la vitesse. Les gémissements de la soumise sont bruyants, elle regarde son mari et dit entre deux souffles :

-Oh mon chéri, regarde comme Victor me prend, oh la vache comme il me defonce la chatte le salaud, il va me faire mourir de plaisir !

Lucas se redresse légèrement pour bien voir la queue puissante démonter sa femme. Le bougre est aux anges, lui, voyeur invétéré, est aux premières loges. La bite, colossale, rabote les parois de la gaine vaginale, en labourant les muqueuses sensibles. À chaque enfoncement de la bite dans son ventre, Louise gémit comme une bête ...

... blessée. Victor se cramponne à ses hanches et la pilonne comme un soudard. Les assauts répétés du baiseur font délirer Louise, elle dit des mots inaudibles, sans culs ni têtes. Elle agite son bassin en donnant, elle aussi, des coups de reins violents, pour s'empaler totalement sur la bite qui lui dilate la chatte. La tension monte d'un cran, les gémissements aussi. Victor retire sa bite du puits débordant de cyprine, pour la replonger brutalement au plus profond des entrailles brulantes de Louise. Qui se cabre en criant :

-Oui, oui, encore, oh, c'est trop bon, déglingues moi Victor encore plus fort !

Le sauvage réitère le mouvement de nombreuses fois pour le plus grand plaisir de Louise et son mari qui marmonne :

-Oui, plus fort, fais-lui mal à cette pute, vas-y, elle te le demande !

Le rythme augmente de plus en plus, les râles de Louise ressemblent à des plaintes d'agonisantes, elle souffle comme un bœuf, se cambre comme un pont en pleine tempête et jouit en hurlant. Son mari se cabre à son tour et envoie sur son ventre un flot de sperme, en rugissant comme un fauve sur sa proie. Louise est haletante, Victor ne la ménage pas, ses coups de boutoirs sont dévastateurs, à chaque coup, Louise pousse un gémissement terrible. Victor grogne, il se raidit, se bloque et remplit de sa semence le ventre de la soumise qui sous la douce chaleur du sperme jouit une seconde fois en geignant comme une bête malade. Lucas lui dit :

-Victor, encule-la bien à fond, éclate-lui le ...